Quelles est l'identité de votre personnage ? Quelles sont ses origines, où vit-il actuellement ? Appartient-il à un clan ? Quelle enfance a-t-il eu ?
Mon identité... ma dénomination, étrange que vous me demandiez une telle chose, il n'y a que trop de personnes qui connaissent mon nom en cet enfer sur terre qu'est Kurasa. Hagane Milena, ou encore scarlet Rain, dénommiez-moi comme il vous conviendra, je n'en ai que faire, la seule chose qui puisse étayer un tant soit peu mon intérêt : est l'expression de terreur que je lirais sur votre face lorsque je vous réduirais en charpie, lentement... dégustant chaque seconde de cet instant. Scarlet Rain ? Ce surnom m'a été attribué après que j'ai pris sous mon contrôl une partie des souterrains de Kurasa, une rébellion se levait pour essayer de renverser L Sama... J'ai éradiquée ces insectes, tachant d'être suffisamment démonstrative de ma puissance et ma cruauté pour faire un véritable bain de sang, de sorte à ce que dans le village tout entier plus aucun déchet ne tente pareille stupidité... ou peut être me l'a-t-on donné lorsque je découvrais mes aptitudes... Mes Origines ? Le village de Kurasa, d’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours vécue dans l’obscurité de ces terres. Du temps ou ma vie ne valait pas plus que celle d’une larve, je me cachais plusieurs heures durant dans les plaines dénuées de vie de ce pays, me complaisant dans cette obscurité, attendant que le poison omniprésent qui y règne ai raison de moi… chose jamais ne se produisit, tout au contraire… J’appartiens au clan Hagane, ou plutôt le clan en lui-même m’appartient, le précédent chef était venu à moi, voulant user de son autorité pour m’obliger à faire partie de son groupe, puis de manière implicite de son harem… le jour même il m’avait tan déshabillée du regard que je sentais presque ses mains me toucher, son souffle pestilentiel me donner la chair de poule et ses intentions plus que luxurieuse…. Une déjection de plus de cette espèce déjà pourrie qu’est l’homme… son existante a été dramatiquement écourtée et depuis lors j’ai repris les rênes de ce dernier, dirigeant ce pseudo clan avec une poigne de fer.
Mon enfance... c'est un sujet que je n'aime pas aborder, car je la sais pitoyable. Ma mère était une femme du clan Hagane, du moins elle devait en faire partie, toutefois dans ses gènes ne figuraient en rien le kekkei du clan, elle fut donc abandonnée. Devenue une paria, livrée à elle-même ma génitrice s'offrit à une personne lambda pour pouvoir manger, l'ironie du sort voulue que ce soit un proxénète qui la prit comme une marchandise et la marqua au fer rouge, tel l'esclave qu'elle était devenue. Durant cette période, elle tombât enceinte d'un client passager puis, jeta en pâture à ce monde le nouvel être que j'étais il y a 25 années de cela. Je passai douze années de souffrances, à me nourrir des restes que voulais bien me laisser celle qui m'avait mise au monde ; il arrivait que je ne mange pas, suivant une diète forcée, tandis qu'elle s'emplissait le ventre à en être repus, ignorant mes appels au secourt, riait en entendant mon estomac se plaindre... lorsque je tombais malade, c'était notre « maitre » qui prenait soin de moi. Oui, mère me détestait pour avoir séjournée dans son corps et de ce faite l'avoir déformé aux yeux de ses clients, mais les choses n'allèrent point en s'arrangeant. Lors de mon treizième anniversaire, je fus jugées comme apte à travailler, et pour cadeau j'eu mon premier client, une brute dont je veux effacer le souvenir, mais qui s'incruste toujours un peu plus dans ma mémoire emplie de malheurs, lorsque j'essaie de l'en supprimer. Le reste de ma vie n'a en rien été rose et ce monde obscure dans lequel j'ai vu le jour, couplé à la vie de débauche que j'eu malgré moi, tous ces évènements furent mes guides vers les abîmes de ce monde en constant déclin. La lumière qui m'a tirée de cet enfer n'est autre que la personne pour laquelle je n'ai point encore abrégé mon existence... L Sasurai, juste après lui vint Eishi et ce dernier me laissât pour cadeau ma petite Rika...
Comment votre personnage considère-t-il son village ? Et comment considère-t-il le monde dans lequel il vit, le système Shinobi et la race Humaine ?
Mon village est ma prison, un endroit morbide où il n'y a point de place pour la vie, seuls les cadavres jonches nos plaines et les survivants tachent de s'accrocher à leurs existences médiocre. Tout en ce village est pourrit jusqu'à la racine, vivre en souterrain, tel les Cro-Magnon des temps passés, a transformé ses villageois en personnages brutaux ne vivant que pour satisfaire des intérêts bien souvent sombres. A cela l'on couple les shinobis traîtres à leurs nations, ces gens qui après avoir quitté leurs pays sont venus s'établir en kurasa, une fois que leur yeux se sont ouverts sur leur impuissance face au monde... Je déteste ce village, je le hais de tout mon être, ma vie en ces lieux a été pavée de douleur, tristesse, peine et châtiments quelconques, si j'en avais le pouvoir, je le détruirais sans en laisser le moindre morceau. Offrant chacune de ses miettes au monstre de la faucheuse qui dévorera ses murs et ses occupants sous mon regard extasié... Cependant... Kurasa est ma raison d'être, ce village en putréfaction, ces gens écoeurants, son atmosphère invivable, tout ceci regroupe ce qui fait de moi ce que je suis, mais aussi et surtout car tous sont sous le commandement de L, la personne que je désigne comme étant mon sauveur en ce monde perdu, noyé dans le vice de l'humanité. Nous ne lui appartenons pas, mais vivre dans les murs de sa juridiction nous poussent à obéir aux lois de son village.
Le système shinobi ? L'honneur de ces derniers... leur prestance et tout le patelin qui accompagne cette belle farce n'est rien d'autre pour moi qu'un permis de tuer que s'est octroyé l'humanité. Les shinobis sont des hommes, hommes qui sont pour la plupart des créatures édentées. L'art shinobi, celui de faire du mal à autrui n'est pour moi considéré que comme des crocs que l'on a offerts à ces animaux pour en faire des monstres. Je m'estime moi-même comme étant une créature du mal, sondant les ténèbres pour trouver mes proies et bondir dessus pour que sous mes coups, il ne reste d'eux que pâte immonde et in-identifiable. Il n'existe aucun shinobi blancs comme neige, tous sont des suppôts du diable arrachant des vies, ou alors des monstre en devenir, formés pour ôter la vie à leur semblables, qui y'a-t-il d'honorable en l'âme de ces bouchers que nous sommes ? Pour finir mon idée sur l'homme est une et indéfectible, s'il Ya un dieu là haut qui a tout créé, son pire échec doit certainement être ces créatures-là. Nous sommes des échecs, contrairement aux animaux qu'ila créé, nous ne pensons qu'à la destruction, nous sommes les seules créatures à pouvoir prendre plaisir dans la souffrance des autres, nous sommes les seuls à perpétrer des meurtres gratuits, nous sommes les seuls à détruire la nature pour bâtir nos demeures... rien en l'homme est bon ; cette race se divise toutefois en trois catégories. Les Ames pures et innocentes que sont les bébés et les bambins de moins de douze ans tel ma Rika chan, les âmes déchirées par le désir de puissance et de grandeurs que sont la plupart des gens et les esprits aveuglés par le voile de la folie. Elle peut être démentielle ou sanguinaire telle la mienne... toutefois... peut-on vraiment dire que je suis folle ? Si cela est une des caractéristiques du genre humain... ne suis-je pas tout simplement humaine ?
Comment décririez-vous votre personnage ? Au niveau de son physique et de sa personnalité, de sa mentalité et dites-nous de quel type de ninja il s'agit (toujours sur sa manière d'agir et de penser).
Physiquement n'arrivez-vous pas à percevoir l'être que je suis ? Très bien, je vous prendrais donc comme un aveugle. Mes yeux sont plus grands que la normale et luisent d'une couleur verte émeraude, j'ai un petit nez à peine remarquable, pour des lèvres roses qui ont fait chavirer plusieurs coeurs. Ce visage d'ange auquel il ne faut en rien se fier est le mien, visage encadrée par la toison dorée que forme le rideau couleur solaire que sont mes cheveux ; ceux-ci souvent attachés en un chignon ou queue de cheval dont moi seule est le secret descendent jusqu'au bas de mon dos. Cette association que forme ma face a à mainte reprises titillé la libido de mes compères mâles, mais nombreux sont ceux qui suite à une demande ont perdus un membre important de leur anatomie. Mes mensurations sont quelques degrés au-dessus des normes, sans pour autant me gêner dans mes déplacements. Je ne les ai jamais vraiment appréciées, car couplées au reste de mon corps moyennement grand, furent ce qui m'éleva au rang de produit de qualité alors je n'étais encore qu'un objet entre les mains d'un proxo abusant lui-même de sa marchandise. Quelques cicatrices ci et là parcoures mon corps, sans pour autant le rendre moins attirant... du moins je le pense. De signes particuliers, je n'en ai guère, hormis la marque faite au fer rouge qui prône entre mes omoplates, jamais je ne pourrais la retirer, les médecins juge toute interventions trop dangereuses car celle-ci est trop proche de ma colonne vertébrale. Cette marque signe de mes années d'esclavage restera pour le reste de l'éternité gravée sur mon corps, me rappelant pour toujours et à jamais que j'ai un jour été la chose d'une ... non de plusieurs personnes.
Ma garde de robe n'a rien d'impressionnant, toutefois, bien des personnes se retournent sur mon passage lorsque je revêts mon armure noire ébène. Faite dans un alliage d'acier et d'un autre métal faisant partie de la famille des super conducteurs, elle reste légère et solide à la fois. Je peux la manipulée à ma guise à l'aide de mon kekkai, mais ceci est une autre histoire. Ma tenue la plus commune reste une robe écarlate parsemée de décorations dorées, elle-même dotée de macarons de cette même couleur recherchée par les alchimistes les plus chevronnés. J'ai un assortiment de robes blanches dans mon placard, ces robes sont plus généralement utilisée pour les cérémonies ou lorsque je veux faire plaisir à ma fille qui m'appelle « princesse » lorsqu'elle me voit avec cette dernière sur les épaules ; l'on y retrouve aussi des robes bleues que je n'utilise presque pas, souvenir d'une enfance insupportable.... Dans tous les cas lors de combat je revêts une armure s'accordant avec les couleurs de mes vêtements et dans le même alliage que précédemment cité. Une dernière tenue plus moulante à mon corps et d'un blanc pur m'accompagne assez souvent, se refermant sur toute sa longueur de mon col à mes hanches par une fermeture éclair, cette tenue se comporte presque comme une seconde peau malgré ses décorations frivoles pour me permettre une liberté total dans mes mouvements, en tout point différente des autres, avec elle je n'ai point à revêtir d'armure, puisque dans ses fibres l'on retrouve super conducteur et fibres d'acier. J'avais été séduite par sa composition et l'oeuvre que représentait cet habit, raison pour laquelle je l'ai acheté malgré le fait qu'il me compresse trop la poitrine, me forçant à l'ouvrir par moment. Aussi jamais je ne me lasse du regard émerveillé que pose sur moi ma fille envoyant tous les froufrous qui la pares.
Mentalement... Je le sais, vis avec et l'assume comme s'il avait s'agit d'une maladie incurable. Je suis psychologiquement aussi stable qu'une caisse de TNT chargée sur une mule en chemin montagneux. Toutefois, cette instabilité doit certainement être due à mon état d'humaine ; oui l'humanité, cette gangrène qui ronge la terre qui nous a vue naitre ... cette même terre que nous piétinons et forçons à boire le sang de nos confrères, cette même terre qui pleure intérieurement de nos actes bien souvent Curel et irréfléchis. Je dois faire partie de ses pires cauchemars, car pour moi tuer est devenu non pas une seconde nature, mais un style de vie. J'aime le sentiment d'extase qui monte en moi lorsque j'observe une personne agonisé, cette chaleur qui s'empare de mon corps lorsque je perçois les derniers râles que poussent les mourants qui le sont de ma main. Je m'enivre à chaque fois que je le peu de l'odeur de sang embaumant mes terrains de combat, les frissons qui parcourent mon être en leur présence ont le don de me rendre folle. Mais les cris de mes victimes, cette douce mélodie qui vient me chatouiller les oreilles à chaque hurlement n'ont vraiment pas leur pareil pour me faire perdre tous mes moyens. Alors oui, si vous appelez mes sources de plaisirs de la folie... Je suis donc folle. Mes adversaires sont pour moi de nouveaux jouets, des jouets qu'il faut utiliser au possible avant de les réduire en morceaux pour profiter d'eux jusqu'à la fin... Je peux me montrer froide, tels les pics des monts les plus hauts. Narcissique, cruelle, brutale, sadique, perverse... J'ai tout d'un démon et ne déteste pas être désignée ainsi ; tout au contraire je le vois comme un compliment. Pocéssive je garde égoïstement tout ce qui est mien ou que je fais mien. Cependant, je peux me montrer plus conviviale avec les membres de mon village, parfois même un air de tristesse peut traverser mon visage lorsque je perçois des personnes ayant vécu un enfer similaire au mien. Jamais vous ne me verrez sourire d'un air amoureux, ou ne me verrez prendre un air doux en dehors des moments où je rencontre des personnes dont je partage la peine ou que je suis avec ma fille. Ce petit ange parvient encore à me montrer le bon côté de l'humanité, il m'arrive même de pleurer en la regardant dormir, cette innocence agit sur moi comme un charmeur sur un serpent le fait sur un cobra royal. Toutefois... rare... très rare, voire inexistante sont les personnes qui ont un jour fait courir des larmes sur son visage. Tous sans exceptions sont mortes de la manière la plus horrible qui soit. Elle seule je veux la préserver de ce monde perverti, pour elle je ferais n'importe quoi. Mes pires crainte se matérialiseraient le jour où elle prendrait peur en me voyant massacrer quelqu'un et me rejette... Je suis un monstre, mais aussi une mère... mes sentiments à l'égard de son père restent les mêmes qu'au premier jour. Mon coeur bat encore pour lui, toutefois, je doute qu'il n'ait gardé un quelconque souvenir de ma personne... mais même ceci ne saurait me faire changer ma perception d'Eishi san...
Quels sont les évènements les plus marquants de la vie de votre personnage ? En quoi ont-ils influencé sa mentalité et sa façon d'être ?
Vous me demandez de vous raconter de A à Z ce qui m'a transformée en monstre et mère ? Très bien, j'espère donc que vous êtes bien installés. Mon enfance est sans nul doute la période qui a fait de l'animal sans défense que j'ai été, l'un des cerbères de cet enfer que vous appelez monde. Je suis née en enfer, et ma mère était le démon qui attisait les flammes sous mon âme. Elle ne me l'avait jamais cachée, cette chose qui m'avait enfantée ne voulais pas de moi, je survivais avec des restes de nourriture et des rats morts, seul le proxénète qui était son maitre et patron s'occupait de moi quand je tombais malade. A mainte et mainte reprises, je me suis aventurée hors de notre masure, hors de la ville souterraine pour être dévastée par le poison environnant notre village, ou par les flammes engendrées par les roches de braise que crachaient le ciel sur ce coin reclus du monde. Pour une raison qui m'échappe encore je ne perdis jamais la vie... à mon treizième anniversaire, j'eu pour tout cadeau mon premier client. L'hébergeur de cette génitrice noircissait mon coeur à chaque minute qui passait, avait fini par me juger apte à « travailler pour et avec lui ». C'est depuis lors que mon corps est devenu ma prison, comme si ce monde de ténèbres n'était pas à lui seul un châtiment bien injuste pour un être de mon âge en ces temps-là. Mon jeune âge attira nombre de ses clients, je fus conviée à un nombre incalculable de jeux tous aussi pervers les uns que les autres. Trois longues années ont passées en ces conditions, ma mère qui me détestait s'est mise à me haïr, car mon corps rapportait plus d'argent que le sien et elle était petit à petit délaissée pour mon plus grand désarroi. Une personne qui passait dans notre secteur posa un jour sur moi et mon regard éteint, mais haillons crasseux et mon teint pâle des yeux emplis de tristesse, yeux qui d'ailleurs étaient en apparence bien singuliers car formés de plusieurs cercles concentriques. Il fut mon client, mais ne fit rien de moi hormis discuter et m'apprendre quelques tours avec le chakra. Il revint quelques fois, toujours dans le même thème, pour m'aider et parfois même arrivant à m'arracher un sourire... cet homme, L notre Kage dont j'ignorais l'existence était devenu mon nouvel appui. Un soir alors que je sortais d'une séance ou avaient claqués coups de fouets de cravache et d'objet de torture en tout genre, j'étais retourné entre les quatre murs couverts de moisissure qui me servaient de chambre. Allongée sur le drap rongé aux mites, j'eu la visite surprise de ma mère qui était venue avec la ferme intention de me supprimer. La haine que je ressentais envers elle et cette vie, l'horreur que m'inspirait notre maître, le profond dégout que m'inspirait tous ces gens... tout ceci finit par faire exploser ma rage. Transpercée de toutes parts des objets métalliques, mère s'effondra le jour où je décidai de faire enfin usage de mes capacités. En ce jour, un nouveau fluide corporel traversa la frontière de mes lèvres. Le gout ferreux du liquide écarlate agit sur moi telle une clé, la clé qui libéra le monstre qui sommeillait en moi. Je peux vous affirmer que le cadavre de ma mère n'a pas de coeur, car celui-ci fait maintenant parti de moi ; notre propriétaire eu aussi un destin funeste. J'avais pris un malin plaisir à lui faire comprendre ce que l'on pouvait ressentir à être souillées de la sorte, lui faire comprendre combien le fait d'insérer x ou y objets dans notre corps pouvait nous frapper psychologiquement... toutefois lui n'y a pas survécut. Personne n'avait osé m'approcher lorsque je circulais dans les dédales souterrains du village, riant d'un air cynique et couverte de sang de la tête aux pieds, des morceaux de chair et de sang dégoulinant de ma bouche... en ce jour-là, j'étais née de nouveau... en ce jour-là je devenais l'incarnation des démons du purgatoire éternel.
plusieurs années plus tard, alors que j'entamais mon dix-huitième hivers, en pleine mission d'assassinat, je croisai un nouveau groupe d'esclavagistes. Ils n'avaient rien à envier à celui qui détenait ma vie par le passé, ils étaient même pires. Les pauvres filles et jeunes fille en étaient rendues à avancer à quatre pattes, enchaînées telle des animaux sauvages. Il y avait dans le lot deux ou trois jeunes garçons et cette simple idée m'a rebutée davantage. Par chance, voir par bonheur, ces gens-là étaient mes cibles. Je pouvais donc y aller sans retenues aucunes, la seule chose dont je me souviens, c'est d'avoir laissé les détenus fuir tandis que je laissais ma rage me consumer pour faire de leurs tortionnaires de la véritable pâtée pour chien... ce qui me tira de cette folie meurtrière fut un homme ; il avait réussi à attirer mon attention et m'avait calmée... des cheveux noirs ébène, un regard perdu entre fascination et lassitude. Jamais aucun homme sur cette terre ne m'avait fait tel effet et il est sûr que jamais homme ne pourra le faire de nouveau hormis lui. Depuis ma rencontre avec Eishi, ma couleur préférée devint celle de ses yeux, ceux-ci luisaient d'un rouge écarlate, le rouge que j'aimais tant et le rouge qui parvint à me séduire. Nous vécurent des instants que je ne saurais décrire avec des mots, sinon qu'ils m'ont convaincu que cette existence n'était pas si dénuée de sens.
Le troisième et dernier point qui a forgé l'être que vous voyez présentement se déroula neuf mois après qu'Eishi et moi-même nous soyons séparés. La naissance de Rika. Ma petite fille, à présent haute comme trois pommes elle a six ans, de longs cheveux bleu pour un visage d'ange, elle est mon trésor et l'une de mes trois raisons d'être.
Son arrivée comme celle de son père dans ma vie m'a appris à éprouver des sentiments autres que la haine, le mépris et le dégout. Elle m'a appris à éprouver ce sentiment de chaleur, ce besoin de protéger une vie, cette raison d'être que de la voir grandir et s'épanouir, elle m'a en quelque-sorte sauvée d'un trépas dans les méandres de ce monde. Toutefois, seule elle et son père me verront dans cet état, toute autre espèce de cette terre ( avec quelques exceptions ) ne mérite rien de plus que le passage de la faucheuse.
Quel est le nindô de votre personnage, quels sont ses rêves et ses convictions ?
Mon Nindo... ? Qu'est-ce que c'est que cette nouvelle connerie. Je ne compte pas m'attacher à une phrase que je me prononcerais en boucle pour avancer en la suivant. Me lancer dans un tel rite serait dénué de sens et selon moi totalement inutile car dans tous les cas, il est très rare que l'homme puisse tenir sa parole. Seuls les gamins frappés par l'idée de devenir des héros tiennent de pareilles balivernes, les suivent en se basant sur une conviction faussée par un jugement trop optimiste, puis finissent par mourir de la manière la plus ridicule qui soit. Le plus souvent dans l'anonymat, loin de leurs proches. Je suis une arme, rien de plus. Mes convictions... L'homme est une créature à éradiquer de ce monde, effacer tout et reprendre depuis le début. Nombre des humains me dégoûte, si ce n'est pas la majorité. Je suis convaincue que l'on ne peut les changer, convaincue que leur cupidité reste sans pareils, convaincue que le seul véritable remède à cette autre forme de la peste qu'est l'humanité, est l'éradication totale ; mais là encore ceci n'est qu'une vision radicale et surfaite de ma pensée. Je ne rêve que d'une chose, voir mon enfant grandir dans un havre de paix, où elle n'aura pas à se battre, où elle ne souffrira guère des affres de la guerre. Là est mon seul souhait...
Quels sont les liens de votre personnage avec d'autres personnes, A qui fait-il confiance, envers qui est-il loyal, fidèle ?
Les personnes dignes de ma confiance sont dénombrables sur les doigts d'une seule main. L Sasurai notre kage, Eishi, le père de ma fille que je recherche activement et ma propre enfant. Certaines rumeurs parlent d'un Eishi en tant que fils du rikkudou... mais je ne veux pas y croire. Ma fille et cet homme sont les deux personnes qui bénéficieront de l'amour que mon coeur plongé dans les ténèbres peut encore générer, de la loyauté que mon âme transit peut encore leur offrir et de toute l'affection dont ce corps est encore à même de partager. L mon kage est la personne que j'admire. Pour le moment, le reconnaissant comme supérieur à ma personne témoignera de tout mon respect. La population de kurasa bénéficiera de ma protection, même si certain auront en prime mon mépris, tandis que d'autre pourront jouir d'une certaine compassion de ma part à leur égards. Pour le reste de l'humanité, je traiterais au cas par cas, ayant pour préjugé premier le fait que tous sont des insectes qui ne méritent que de finir sous ma semelle, il est probable que ma vision sur eux change fonction de ce que j'apprendrais de leur vie. Toutefois, c'est sans le moindre gène que je toiserais de haut ces cafards grouillants et pullulants sur ma route. Les écraser par mégarde, ou les ramener à l'état qu'ils devraient avoir, celui de rebuts d'une humanité presque entièrement dévorée par ce mal !
Votre personnage est-il attiré par la puissance, l'argent, ou encore le pouvoir ?
L'argent est capable d'acheter la puissance des mercenaires les plus expérimentés. Toutefois, cet argent représente une puissance bien faible devant le véritable pouvoir. Tel est mon but ultime, surpasser toute créatures vivantes, pouvoir regarder toute cette terre depuis un piédestal que personne n'atteindra après moi. Faire de ce monde pourrit mon marche-pied pour le modeler à ma façon, en faire ce que je veux pour ma fille. Cupide et gourmande, oui je le suis, non pas pour amasser de petites monnaies, mais plutôt pour gagner le pouvoir de faire miennes toutes les terres de ce monde. Je sais que ceci est un rêve éveillé, je suis consciente du fait que cela est proche de l'impossible ; toutefois ne dit-on pas que le rêve est le pilier de la vie ? Cependant, réussir ne ferait-il pas de moi une déesse justement pour avoir accompli pareil exploit ? Devenir plus puissante, plus apte à protéger ma progéniture du monde, tel est mon désir, mon devoir, ma raison d'être pour la voir grandir en un monde délesté de ces guerres. Si je dois devenir plus monstrueuse que je le suis déjà, si je dois devenir l'ideuse créature qui hante vos craintes les plus sombres et les plus profondes ; si je dois faire cela pour que cette enfant vive une existence ou le sourire véritable ne sera pas aussi rare que le diamant, alors c'est sans la moindre hésitation que je me couvrirais de tous les pêché du monde pour assouvir ce désir égoïste. Une fois cet objectif accomplit... Je n'aurais plus de raisons d'être. Tant que Rika vivra le véritable bonheur, mon coeur sera sûr de trouver le salut même perdu aux confins des entrailles ténébreuses de cette mer qu'est la folie.
Quels sont les points forts et les points faibles de votre personnage, aussi bien au niveau de sa psychologie que de son physique ?
Je me sais sûre de moi, chacune de mes décisions, même prise dans la panique sera toujours ce que j'estimerais comme la meilleure solution. Nul besoin de maugréer sur une décision prise et exécuter, car aucun être vivant ne possède le pouvoir de remonter le temps. Cette conviction en mes décisions m'assure de ne jamais perdre en temps de réflexion, chose qui pourrait être profitable à mon adversaire. Il pourrait aussi être considéré comme un point faible car en certaines situations je foncerais droit dans le piège d'un adversaire, mais j'ai confiance en mon jugement. Fourbe et sournoise, je ne cracherais jamais sur une stratégie, aussi sale et horrible soit elle pour infliger la souffrance, ou mieux, la peine de mort. Je vois comme un point fort, le fait de savoir me montrer patiente pour que lentement, mais surement mes proie s'offre à moi, leur bourreau qui avec un plaisir insondable les offrira à la grande faucheuse. Je sais comme étant un point faible, ma forte rigidité vis-à-vis de l’autorité, je n’ai d’ordres à recevoir que d’L sama et de la personne qui a réussi à faire battre ce cœur jadis mort au sein de cette poitrine qui a tant souffert. Ma fille par contre est un autre cas, ses désirs sont pour moi des ordres, je m’y plierais et les exécuterais, poursuivant ce but comme si ma vie en dépendait. Dans la mesure du possible du moins… Je brule d'un orgueil démesuré et oui, je le vois comme un point faible, mais suis trop orgueilleuse pour l'admettre devant quiconque, même pas à moi-même. Cet orgueil me poussant à prendre la race humaine de haut, un orgueil me dictant de ne les considérer que comme la pestilence de ce monde... après tout, que sont-ils d'autre sinon de stupides créatures existants que pour satisfaire leur propre égo ? En tant qu'humaine, je me vois aussi affublé de ceci... l'égo. L'énorme égo qu'est le mien, sans compter le point auquel je suis égoïste et cupide, avide de puissance et désobligeante envers autrui. Tout ceci me portera préjudice un jour de le sais... mais ce jour-là... Je défendrais cet honneur dont moi seule peut percevoir la grandeur en faisant usage de toute ma puissance. Pour finir vous me trouverez maniaque, mais je fais toujours de mon mieux pour que peu importe le nombre de mes combats, la geôle de chair et de sang que représente ce corps souillé ne prenne pas plus de dégâts qu'il n'en a déjà reçu. Je suis regardante de sa beauté et je sais que la protéger est un devoir pour que le jour où je reverrais Eishi, il ne détourne point le regard...
Physiquement, mon point faible est mon corps tout entier, corps que je veux protéger, ironiquement, il est aussi mon arme principale. Je suis fière de la vitesse que ce dernier a développé, aussi bien en terme de vitesse physique, que de vitesse de réaction. Son endurance est l'un de ses défauts, cependant, la force physique qu'il peut déployer, sans pour autant que des muscles proéminents n'en déforme sa silhouette vous surprendra sans l'ombre d'un doute. La meilleure chance de mes adversaires pour gagner face à moi serait de faire perdurer le combat, mais rien ne dit que je bougerais autant qu'ils le voudraient.
Quels sont les goûts, les habitudes, les manies, les toc de votre personnage ?
Mes goûts, habitudes et manies ? Serait-ce là une plaisanterie ? Je ne fais que vous dire ce que j'apprécie depuis le début de cet interrogatoire... soit. C'est un ordre de L sama je m'y plierais donc... toutefois j'imagine vous pouvez facilement le deviner, en combat faire souffrir autrui est ma passion, lui apprendre que sa place est en dessous de mes bottes fait partie de mes habitudes. Je n'aime que très peu de choses pour en Haïr une quantité sans chiffres précis. J'ai pour habitude de garder les bras croisés ou l'un tenant ma tête, l'autre lui servant de support au niveau de ma poitrine. Vous verrez toujours un sourire cynique déformer mon visage, du moins lors que j'observe une créature humaine jugée inférieure, comme beaucoup d'ailleurs. Piétiné les mourants et les martyriser jusqu'à ce que mort s'en suive est un autre de mes hobby, les pousser à reconnaitre ma supériorité et à me vénérer comme une déesse est une petite manie qui s'est incrustée dans ma manière d'être. Ce constant désir de supériorité, celui de vouloir être reconnue comme une divinité sur terre me poussera encore et toujours à dénigrer ceux que je ne juge pas digne de mon respect ou de ma compassion, chose que j'accorde très rarement à qui que ce soit reste l'une de mes plus grandes manie. Lorsque je me retrouve seule, contempler la nature et la quasi perfection de cette dernière me change tellement des abominations de l'humanité que s'en est devenu une habitude. De jour je fais silence pour entendre les bruits que fait cette dernière. Les mugissements du vent dans les arbres me font penser à des lamentations, l'écoulement d'un ruisseau tranquille me donne l'impression de sanglots étouffés, la cacophonie d'une chute d'eau viens à moi comme un hurlement de rage à l'humanité qu'abrite ce monde. De nuit les étoiles brillent telles des larmes sur le visage d'un enfant, tandis que la pluie me fait penser à un véritable torrent de pleures et de supplication. Ecouter la nature, observer cette dernière... tout ceci me rappelle moi-même il y avait quelques années de cela, lorsque je n'étais encore qu'une petite fille et ne rêvais que de liberté, que ce rêve de liberté s'est finalement transformé en désir de mourir... Je fais partie de ses tortionnaires, mais suis à la fois une de ses plus grandes admiratrices, mère nature et les bruits qui l'entourent sont en eux-mêmes un refuge pour moi, refuge que j'ai pour habitude de rejoindre en me coupant du monde pour vivre avec elle cette poésie de peine et de douleur.
Quelles sont les croyances de votre personnage ?
Des divinités, des entités supérieures maîtresses de pouvoir incommensurables, des êtres capables de détruire la création, comme de bâtir sur les cendres de cette dernière. Oui, je crois en leurs existences, je suis même presque certaine qu'il existe un être quelque part qui a créé tout ceci. Il serait bien trop énorme de penser que la vie est arrivée sur ce cailloux aride sans l'aide d'un tierce. Mais que l'on soit bien claire, je ne prends pas le Rikkudou comme un dieu, au même titre que celui qui est l'auteur de nos vies, non ! je sépare en deux ce que j'appelle Déité et dieu. Les Déités ou là comme j'aime le penser, est l'être supérieur qui nous a créé nous, la terre, les eaux, les montagnes les animaux et tout ce qui s'en suit. Jamais tel être divin ne pourrait être égalé par nous simple mortel, je suis persuadée que ne représentons pas plus que de vulgaire fourmis à son égard, alors de là à penser ne serait-ce que lui arriver à la cheville, je ne parle même plus de rêve là... Puis viennent les dieux, ces gens qui ont transcendés le pouvoir de l'humanité, ceux la même qui à force d'amasser puissance et expérience ont obtenus suffisamment de pouvoir pour pouvoir prétendre régner sur l'espèce humaine. Non les Kage ne sont pas encore à ce niveau-là, seul le rikkudou a su atteindre ce pallier représentant le premier pas sur un escalier sas fin vers la Déité ; seul lui pour le moment a su marquer l'histoire de son passage comme étant le plus puissant homme jamais connu. Ça, au niveau des motels, c'est un dieu.
Votre personnage a-t-il des préjugés ? Que déteste-t-il ?
Des préjugés... J'en ai tellement que plusieurs feuilles de parchemins ne suffiraient pas à tous les répertorier, alors je ne parle même pas de ce que je déteste... Je peux cependant m'efforcer de vous ressortir les points culminants parmi toutes ces choses que je rejette. Comme je le répète depuis un moment, mon aversion pour cette déjection divine qu'est l'humanité n'a quasiment aucune limite, cependant, il y a parmi cette vermine certain que je voudrais sauver, comme d'autres que je désir torturer jusqu'à détruire leur âme. Je hais par-dessus tous ceux qui ne sont pas en mesure de tenir leur parole donnée, ils me rebutent de par le manque de confiance que l'on peut leur accorder, c'est le genre de tâches qui peuvent pour n'importe quelle raison frivole faire rater une mission à cause de leur manque de sérieux ou de conviction. Je hais tous les plaisantins qui aiment rire pour tout et pour rien, qui ne prennent rien au sérieux et finissent par mener à mal la mission qui leur est confiée, ou mettre en danger de mort le groupe que leur exécrable présence pollue. Je déteste tous les faibles qui ne sont pas fichus de se battre jusqu'à leur dernier souffle, j'abhorre ces sous-espèces de crottin qui ne vivent qu'en tant que parasites, accrocher aux autres sans jamais vouloir évoluer, entrainant par la même occasion ceux qui prennent soin d'eux dans leur chute. Ce sont ceux-là même qui tirent les autres vers le bas ; au vu de l'incompétence sans nom dont ils font souvent preuve, cela ne fait aucun doute.
La majorité de mes préjugés sont porté sur la mentalité de mes confrères humains, qui peu importe le point au quel elle sera développée, restera dans ce même esprit aussi primaire que celui d’un animal. Très peu sont ceux d’entre eux qui arrivent à se démarquer du lot, de ce faite, je ne peux décemment m’imaginer faire équipe avec aucune de ces créatures que je ne statue même pas digne de respirer le même air que moi, de peur qu’ils ne me contaminent. Je condamne aux pire atrocités tout ce qui se rapproche de ceux que j’ai le plus détesté tout le long des 25 années que j’ai passé sur terre. Toute femme qui traitera sa progéniture tel un déchet sera pour moi une créature à dépecer, tout homme qui jouera à utiliser le corps d’autrui pour son profit personnel devra se tenir prêt à éponger toutes mes foudres, car je ferais s’abattre sur lui le feu céleste, pour que de son corps impure ne reste que des cendres fumantes éparpillées par les dieux des vents, dissipés aux quatre coins du monde.
Comment votre personnage définirait-il son devoir sur Terre ?
Mon rôle sur cette terre... ce serait d'être la faux de notre amie en robe noire. Exterminer l'humanité et éradiquer toute cette vermine grouillante... du moins c'est ce genre de réponse vide de sens et dénuée d'une quelconque logique que je vous aurais servi sur un plateau si vous m'aviez posé la question il y a 7 ans de cela... Cependant, lorsque mon petit ange s'est extirpé de moi, j'ai vu la vie sous un angle nouveau. Eradiquer la population serait la solution la plus radicale, mais ce serait le chemin de la facilité. C'est la raison pour laquelle j'ai décidée de devenir une déesse à même de changer ce monde pour le refaçonner à ma façon. Je veux que ma fille puisse vivre une réminiscence du paradis, qu'elle n'ait pas à suer sang et eau pour obtenir ce qu'elle désire, mais que cela lui tombe tout cuit dans la main. Dans ce cas, voilà comment je juge mon rôle sur cette terre : je ferais tout mon possible pour devenir la déesse qui régnera sur ce monde et éradiquera le mal qui lui pourfend le coeur. Je rétablirais la balance du bien et du mal pour que devienne réalité ce rêve bercé d'illusions tant il parait fou et prétentieux, mais il est de mon devoir d'essayer ; pour le bien de mon petit ange... Bien sûr je fais confiance à L sama, je reconnais sa puissance et sait qu'il peut déjà endosser ce rôle. Mais ne dit-on pas qu'il est préférable d'avoir plusieurs cordes à son Arc ? Je ne me lance pas dans cette entreprise par méfiance, ou par crainte d'un quelconque échec de sa part, cependant, il faut que je sois aussi suffisamment forte pour pouvoir assurer la protection de ma fille par tous les moyens. Ironiquement, cela signifie aussi protéger Kurasa, de là naissent mes deux principales raisons de protéger cette réminiscence de la géhenne éternelle. En tant que propriété de L sama et lieux de vie de mon enfant, il est hors de question que je laisse ce village bruler ; que ce soit dans un feu adverse, ou des flammes générées par ses propres démons. Tel est mon désir, telle est la mesure de mon égoïsme, de mon égo, de ma cupidité... aussi fou que soit ce but, aussi folle que soit mon ambition, je réaliserais ce rêve pour continuer de voir le sourire de mon enfant ; pour continuer d'entendre ses « nipaaa » innocents, pour que sa douce voix vienne de nouveau me rappeler que la vie vaut la peine d'être vécue...
Spoiler:
La Fille de Milena Rika Chan
Et Vous ?
Moi ... ? Bha je suis un black un peu paumé de 22 piges et des poussières. Ma présence sur ce forum ? Bha je n'abandonne pas un ami et suis toujours prêt à m'amuser/ aider. D'où ma présence parmi vous. Je pourrais vous paraître complètement cinglé par moments, mais ne vous inquiétez pas. Chui juste un peu barge °° Il est probable que j'ai des blems avec les Français ( oui je reconnais chui une belle bille avec les règles de grammaire...). Je déteste les insultes lorsque le sujet devient sérieux, ou que l'on se moque d'un sujet que je prends au sérieux. Hormis ça je suis plutôt sociable... Je crois o_ô Bon nous avons un forum à faire tourner ^^
Dernière édition par Hagane Milena le Ven 27 Juil - 15:07, édité 2 fois (Raison : Correction)
Deadly Sins
Admin - L'incarnation des sept péchés capitaux - Conquérant de Dokusai
Sujet: Re: Shi no Megami Hagane Milena [ Terminé ] Mer 25 Juil - 15:17
Bonjour Milena.
Comme demandé, je réponds à ta présentation avec le plus de rigueur possible Étant la première personne à découvrir mon identité jusqu’alors secrète (professeur de Français à la retraite), je vais laisser libre-cours à mes pulsions anti-dysorthographique. Plus sérieusement, te connaître même légèrement ne changera en rien mon jugement, je veillerai à rester objectif et cohérent pour ton bien comme pour celui des autres.
Comme d’habitude, la présentation est longue, trop peut-être, mais il est dur de changer une tradition encrée et je pense que cette réflexion n’aura que peu, voir pas d’impact sur tes futurs récits. Le second modèle est aussi un facteur de cette étendue de mots, te permettant de répondre à de nombreuses questions, toutes pouvant êtres développées. Néanmoins il aura le mérite de mettre en avant les principales caractéristiques de ton personnage, nous offrant le loisir de l’étudier en détail tout en pouvant se reposer après chaque essai.
Au niveau du texte, tu conserves ce large vocabulaire aux tournures limpides. On retrouvera cependant de trop nombreuses fautes, d’inattentions en grande partie, pouvant aisément être évitées après relecture.
• seulS les cadavres jonches nos plaines
• Trois longues années onT passées en ces conditionS
L’histoire est morbide, sale, mais c’est aussi ce qui fait tout le personnage que tu nous dresses. Il est une chose rare que de parler de sexe dans le monde shinobi, le contexte actuel t’offrant le loisir de mettre l’indécence en avant. J’ai même trouvé certains passages tellement osé que cela m’a amusé : des coups de fouet, de cravache et autres objets de tortures – le fait de manger le cœur de ta mère (si j’ai bien compris). Bref, j’ai été très surpris d’autant de noirceurs dans cette présentation, et cela va dans le bon sens du terme. L’ajout de personnages existants sur le forum est également intéressant.
En définitif, l’histoire est bonne, les descriptions aussi. Le vocabulaire employé est, comme dit plus tôt, varié au point qu’il en est plaisant d’en lire les textes. Toutefois la présence de fautes en trop grand nombre m’empêche de t’accorder le grade souhaité. Aussi, tu obtiens ma voix pour Juunin Sup’, mais attendons l’avis d’un membre du staff peut-être moins exigeant qui te donnera accès au titre que tu convoite.
En espérant toutefois que ce choix te convienne, Deadly.
EDIT : Je viens d'apprendre que le Français n'était pas ta langue maternelle. Ainsi, je comprends mieux pourquoi il y a autant de fautes dans ton écrit, mais il me faut rester impartial. J'espère que tu ne m'en voudra pas trop...
Hagane Milena
Modérateur présentations - Scarlet Rain - Prophète de Kurasa
Messages : 51 Date d'inscription : 13/07/2012 Age : 34
Sujet: Re: Shi no Megami Hagane Milena [ Terminé ] Mer 25 Juil - 18:30
Bien alors je me suis relus, ( oui il y avait des fautes, je le reconnais °° ). Et je vais répondre à tes dires sur l'histoire aussi sombre soit elle. Mëme si tu la trouves méliorative pour le fof, il faut que je précise le pourquoi de tant d'obscurité.
Depuis un petit bout de temps déjà j'en ai eu marre de l'univers de nounours de Naruto, un animes où les seuls morts du côté héros sont Jiraya et Asuma. Cet univers trop rose a finit par déteindre sur les forums de Naruto et de ce fait l'on se retrouve souvent avec des rigolos sur les forums, ou des personnages tous doux. Beaucoup semblent oublier que l'homme lorsqu'il est en position de force brise trop souvent certaines règles, nous montrant ainsi ce qu'est la véritable cruauté. Comme dit dans mon histoire, nous sommes les seules créatures capables de tuer par plaisir et non pas pour se nourrir ou se protéger tels les animaux. Raison pour laquelle j'ai essayé de me démarquer de ces personnages de Teletubbies que l'on voit un peu trop souvent pour faire un personnage frappé de tout le vice du monde, pour rappeler un peu que nous sommes dans un univers autre que celui de Naruto et pour rappeler que l'homme n'est pas une petite boule de poils câline et toute mimie.
Dernière édition par Hagane Milena le Mer 25 Juil - 20:48, édité 1 fois
Deadly Sins
Admin - L'incarnation des sept péchés capitaux - Conquérant de Dokusai
Sujet: Re: Shi no Megami Hagane Milena [ Terminé ] Mer 25 Juil - 20:38
Mais je suis parfaitement d'accord ! Tu remarqueras que ma présentation est assez semblable à la tienne : le fait que ton histoire soit "trash" est loin d'être un reproche, bien au contraire.
Hagane Milena
Modérateur présentations - Scarlet Rain - Prophète de Kurasa
Messages : 51 Date d'inscription : 13/07/2012 Age : 34
Sujet: Re: Shi no Megami Hagane Milena [ Terminé ] Mar 31 Juil - 16:46
Test RP Permit par Yuujoba :
Spoiler:
Je vous situe : Ici Milena est une Uchiha atteinte de sévère schyzophrénie, elle a 3 personnalités représentée par l'image avant le texte. Toute trois s'appellent Milena mais les distinctions les diffèrent les unes des autres, et celle-ci sont différente fonction des personnalités.
La plus jeune d'age mentale Appelle :
- l'originale : Milena Onee Sama - La plus stricte ( la bleue ) : Sévère Milena San / Milena one San
La plus stricte appelle :
- L'originale : Milena San ou Milena Onee Sama - La plus jeune : Milena Chan
L'originale Appel :
- La Milena Sévère : Milena San - La plus jeune : Milena Chan
Elles se remettent d'un combat ( fin elle se remet mais bon c'est compliqué ^^' ) étant à l'hopitâl leurs consciences se sont dissociée l'une de l'autre. Le Test est une représentation du Chaos que cette séparation a générée.
Une large fente lumineuse se dessinât dans cette obscurité, tout avait fini par revenir à la normal... le plafond au-dessus de moi était celui d'une des chambres de l'hôpital de Konoha Gakure no Sato. Ma main quand-à elle était plaquée sur mon front, visiblement l'autre avait réussi à réappliquer le Fuuin no Sen'ou. Un faible sourire éclairci mon visage l'espace d'un instant avant que ce dernier ne reprenne son sérieux habituel, la paix intérieure avec les deux autres ayant été refaite, nous avions d'autres chats à fouetter... le plus important pour le moment était d'aller à l'arbre monde, revoir Rushin et en savoir plus sur sa relation avec mère. Quittant ma couche trempée de sueur (certainement du à cette longue bataille interne ), je me dirigeai vers le miroir, vêtue d'une simple robe de chambre d'hôpital, je me rappelai à nouveau du pourquoi j'exécrais les hôpitaux... n'importe qui pouvait nous tripoter pendant que nous étions inconscients. Me retournant vers l'unique armoire de la pièce, seul celui qui d'en haut nous observe constamment pouvait savoir ce que j'allais y trouver... j'ai vu beaucoup de cadavres dans ma vie... j'ai aussi vu toute sorte d'horreur... mais l'abomination qui se dévoila àmoi lorsque j'ouvris les portillons, était semble t-il, à prendre comme une sorte de message, comme quoi... le pire restait encore à voir.
Dans cette armoire où j'étais sensée trouvée mes vêtements de l'avant veille, je trouvai suspendu à la barre d'acier une paire de bras... du moins je le pensais ... séparer au niveau du coude et de l'épaule, avant bras et continuité de ce dernier avait été accrochés à cette barre via des câbles d'Ariane. Les mains quant à elles étaient absentes, juste à côté de ces morceaux se trouvait ce qui semblait être une paire de jambe, elle aussi dans le même état que les membres supérieurs. Quelque peu freinée dans ma recherche de vêtements, je poursuivis en ouvrant l'un des quatre tiroirs se trouvant en bas à côté d'une cantine. J'y retrouvai une dizaine de doigts... dans le tiroir d'accoté, ce fut une dizaine d'orteils... les deux autres tiroirs qui suivirent contenait ce que je désignai comme étant les mains et pieds du malheureux qui avait subi ceci... lorsque j'observai la cantine en activant mes sharingans... je ne savais plus que penser.
J'étais pétrifiée... mes yeux vissés sur le miroir me renvoyait l'image d'une fille tremblant de tout son être, des sueurs froides courraient dans mon dos, ma respiration était devenue difficile, même mon coeur avait perdu son rythme ordonné pour une frénésie incontrôlée, parfois rapide, parfois plus lente... Milena chan ne chantait plus... Milena Sama ne disait mot. Et moi qui investissait présentement le corps ressentait les effets d'une terreur sans précédent... la voix de cette personne n'était pas comme la mienne dénuée de sentiment... ni comme celle joyeuse de Milena chan, encore loin de celle de la voix sadique de Milena Sama... c'était un mélange en froideur et cruauté, entre pragmatisme et indifférence... entre joie et ... et un dernier sentiment qui m'échappais complètement. Jusqu'à quel point ce corps avait été Maltraité ? Jusqu'à quel point Milena avait elle torturée son propre être ? Jusqu'où avait - elle poussée les limites de l'acceptable pour son propre subconscient ? Et puis cette nouvelle question qui s'était greffée dans nos consciences... qui était-ce ? Par curiosité, je finis par ouvrir la cantine, ce fut pour y trouver un jeune homme tronc, non... il n'était pas mort. Privé de tous ses membre, il posât sur moi un regard non pas apeuré, non pas triste, mais joyeux, une expression éprise d'une fausse joie... de ces joies qui ne naisse que sous la torture...
- Ojou Sama... (grande marque de respect envers une femme [ c'est comme ça qu'un majordome appellerait la maitresse d'une maison par exemple ]) m'appelât-il avec un sourire... y a-t-il quelque chose que je puis faire pour vous ?
J'avais laissée l'homme tronc dans sa boite et quittée l'hôpital. Visiblement personne ne se rappelait de lui, à croire que son existence s'était effacée de leur mémoire... que c'était-il passé ? c'était une situation qui me dépassait... je ne savais trop comment la prendre et finalement j'avais décidée de ne plus y penser... enfin essayer... plus facile à dire qu'à faire avec un corps réagissant tel celui d'une enfant devant ses pies cauchemars...
L. Sasurai
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Sujet: Re: Shi no Megami Hagane Milena [ Terminé ] Mer 1 Aoû - 8:50
Ta capacité à faire vivre ton personnage, à le façonner, à nous faire ressentir tout ce qu'il y a de plus néfaste enfoui en elle m'ont convaincu, en plus de la confiance que je t'accorde et de ton expérience, de t'accorder le rang de grade spécial. Après tout, je sais que tu sauras gérer ce rôle et le rôle que j'aurais à te donner au sein du village
Pour moi, grade spé level 9
(à vrai dire, je l'avais lu hier ce test, mais à trois heures du matin, bien souvent, on a la flemme de répondre XD)
Mikan C. Shizuka
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Sujet: Re: Shi no Megami Hagane Milena [ Terminé ] Jeu 2 Aoû - 14:27
C'est dégoûtant x) Bon alors un truc : L'hôpital de Konoha Gakure no Satô. T'es sûre de toi sur ce coup? 'fin voilà. Petit truc qui m'a bloquée, même si c'est pas grand chose. Ensuite, tes fautes. Je t'en veux pas, mais fais-y attention. Utilise Bonpatron, word, tout ce que tu veux, mais fais-y très attention. Sinon, le texte, ben juste quand la Milena trash parle, j'ai peur. J'aime beaucoup comment tu mets en scène les trois facettes de ton personnage. En plus, je te connais, j'ai lu tes précédents textes et tout et tout, donc je sais que tu peux vendre des rêves comme des cauchemars (c'est pas péjoratif, au contraire).
» Validée à Kurasa » Grade spécial, lvl 9 N'oublie pas de voter, de te recenser et de faire ta Fiche Technique! Bon RP
Daimyou
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Sujet: Re: Shi no Megami Hagane Milena [ Terminé ] Jeu 2 Aoû - 18:45
Faut pas oublier que c'est un ancien rp qu'il vient de poster, pas un rp récent fait exclusivement pour OnH.
Edit Milka : Merci pour cette intervention pertinente. J'avais compris, merci.
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Sujet: Re: Shi no Megami Hagane Milena [ Terminé ]
Shi no Megami Hagane Milena [ Terminé ]
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