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 Gogyou Setsuri

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Gogyou Setsuri
Gogyou Setsuri
Prophète de Kurasa - Chef du clan Gogyou


Messages : 11
Date d'inscription : 31/07/2012
Age : 35

Dossier ninja
Niveau: 9
Renommée: Continentale
Renommée effective ?: Oui


Gogyou Setsuri Vide
MessageSujet: Gogyou Setsuri   Gogyou Setsuri EmptyMer 8 Aoû - 20:10
Gogyou Setsuri
Gogyou Setsuri Satenava
Age : 25
Village : Kurasa
Rang : Prophète
Clan : Gogyou (chef)

Taille : 2m17
Poids : 109 kg

Affinité(s) : A voir
Spécialité(s) : Nintaijutsu- Ninjutsu - Taijutsu

Code du Règlement :




Codage © Galatea
Quelles est l'identité de votre personnage ? Quelles sont ses origines, où vit-il actuellement ? Appartient-il à un clan ? Quelle enfance a-t-il eu ?



Mon identité ? Je vous intéresse tant donc ? Que voulez vous savoir de moi, mes lubies, mes passions, mes tendances ? Pourquoi parlerais-je donc de moi à de misérables insectes comme vous, après tout, quand j’aurais explosé votre fierté et votre face par la même occasion, il ne restera plus assez de matière grise dans votre caboche pour que vous vous souveniez de quoi que ce soit… Mais soit, je vais être gentil, si on peut dire ca, et vous parler peut être de moi, mais après promis, je vous éclate. Allez, desserrez les fesses, je plaisante… Juste à moitié, je vous éclaterais quand même, mais passons. Mais c’est curieux que de tels questions me soient posées quand même, mon nom est assez connu fichtre, vous aurait-on déjà réduis la tête en pièces pour que vous le sachiez même pas ? Bref, pour entrer dans le vif du sujet avant que je m’énerve et perde ma patience, je suis le grand et magnifique Setsuri, connu aussi sous le nom du sublime étalon de Kurasa. Ouais fin, c’est plutôt comme cela que j’aimerais qu’on me connaisse, mais allez savoir pourquoi, tout ces abrutis de Kurasa m’ont donnés le surnom de la Brute Sanguinaire, ou Head Crusher aussi… Pourquoi un tel surnom ? Allez savoir, fin je pense que j’ai ma petite idée, dès que j’en colle une dans la face d’un idiot, il reste plus que de la pulpe sanguine étalée sur les murs, c’est sûrement pour cela, vous en pensez quoi ? Ou tout simplement car je ne laisse aucune chance à mon ennemi et tente toujours de le réduire en hachis parmentier, que ce soit la tête ou non évidemment, tout est bon à exploser. Ouais ce doit être cela, là dernière fois que j’ai eu une mission, j’ai du calmer un groupe d’abrutis révolutionnaires, ils sont très calmes depuis, trop même, ils glougloutent juste dans la bouillie que j’ai fais d’eux, on ne peut même plus les reconnaitre, fin ce n’est pas grave non plus, ils sont morts, ils vont pas se préoccuper de la tronche qu’ils ont maintenant.

Ah ouais, comme vous l’aurez compris, je viens de Kurasa, charmant petit hameau perdu dans le trou du cul du monde, c’est peut être pour cela que y a tant de gaz qui flottent dans l’air, heureusement je fais partie des rares à pouvoir les supporter (Ouais je sais, on me le dit souvent que j’ai un humour de chiotte… chiotte, cul, gaz, vous pigez ? Oh et puis merde, je retourne lire être drôle pour les nuls qu’une fille m’a prêté…)… Etrange n’est-ce pas ? En sachant que j’ai du faire comme la plupart des marmots autrefois, me terrer comme une larve dans un coin à pleurer sur mon sort, en attendant innocemment que cette saloperie de mort gazeuse vienne m’emporter, hélas pour beaucoup, la mort devait m’aimer vu qu’elle m’a épargné niark. D’ailleurs, dans ce village je fais partie du clan Gogyou, le clan des primates comme certains disent, ou disaient, depuis que je leur ai fait ravalés leurs dents… Faire partie est aussi un bien petit mot, je suis le boss dans ce groupe d’incapables, quand faut décider ou trancher, ou quand y a des désaccords dans le clan, c’est moi qui décide, en général à grands coup de torgnoles. C’est aussi moi le fertilisateur en chef du clan, c’est bon d’être le patron, on peut e payer toutes les femmes qu’on veut. En bref, vous l’aurez comprit, je dirige le clan, d’une main de fer, ou plutôt d’un poing d’acier. Nombreux sont ceux qui ont essayés d’usurper mon trône, et depuis, ils nourrissent les vers. Etrange fatalité pour des larves.

Vous me demandez aussi mon enfance, tchh… J’aurais souhaité ne point en parler, car cela n’a rien de vraiment glorieux, j’ose à peine croire que je fus autrefois ce mouflet pleurnichard, heureusement que depuis je suis devenu un redoutable athlète. Comme vous devez probablement le savoir, la vie à Kurasa n’a rien d’une partie de plaisir, on patauge dans la merde en essayant d’en sortir, et en espérant qu’aucun démon de la surface ne viendra vous foutre une beigne assez forte pour vous renvoyer au fond. Je faisais partie de la partie faible du clan, mes parents ayant été deux rebus pour le clan, ainsi je faisais partie de la famille secondaire. Comme tout les autres enfants de cette famille, je n’avais droit qu’à bien peu de liberté, et on ne mangeait que bien peu souvent à notre faim. Dans un espoir de redevenir des membres à part du clan, nos parents s’entêtaient à nous faire subir des entraînements encore pire que ceux de la famille supérieure, en espérant qu’on finisse par développer le talent dont eux étaient privés, et qui permettraient autant à l’enfant qu’aux parents de remonter en grade, et dans l’estime du clan surtout. Malheureusement pour eux, j’étais faible, bien faible, probablement une des pires larves qu’eurent à enfanter les Gogyou, et mon quotidien ne fut que brimades et insultes. Haine et colère furent mes seuls amis, et c’est avec l’aide d’un membre de la famille supérieure qui eut la bonté de me prendre sous son aile, que je finis par développer le talent nécessaire pour prétendre à me faire un nom dans ce groupe de pourris. Ainsi, après des années passés à m’entraîner, je devins assez fort pour briser la nuque de mes vieux, et de tous ceux qui m’avaient pourri la vie. Je pus réintégrer le clan supérieur, et poursuivre un entraînement digne de ce nom.


Comment votre personnage considère-t-il son village ? Et comment considère-t-il le monde dans lequel il vit, le système Shinobi et la race Humaine ?


Qu’est-ce que je pense de mon propre village, de ma nation hein ? Je répondrais tout simplement pas grand-chose, même si ce n’est peut être pas là toute la vérité. Si je devais être franc, je dirais que j’adore cet endroit tout autant que je le déteste. Comment peut-on apprécier un tel endroit d’une part, quand seules la mort et la désolation sont les décors et peintures qui s’offrent aux yeux des spectateurs de ce monde dénué de grandeur et d’espoir ? Il n’y a rien qui puisse permettre aux bouseux qui se sont terrés dans ce terrier puant d’espérer un jour voir un soleil et un ciel bleu illuminer leurs journées dans un monde de verdure et de chants. Ici, c’est rockland de façon général, à part quelques arbres morts, faut dire les gaz ont tôt fait de tout tuer et de rendre la vie impossible, merci le macaque qui a explosé dans le ciel. C’est la raison qui fait que ce village soit détestable, mais d’un autre côté, je me plais bien dans ce trou mort. Quand on est une icône comme moi, et qu’on est en plus capable de résister à la putride odeur de mort qui enveloppe notre terrain de chasse, on a le droit d’avoir le sentiment de se sentir tout puissant et supérieur aux autres. Et puis ma position élevée dans la hiérarchie de mon clan et du village me donnent tant de passes droits que je suis un des seuls à arriver à m’éclater dans ce bled. J’adore chasser la pucelle des profondeurs ou le chieur à tuer, je me sens comme un loup grattant au terrier du lapin.

Etre ninja c’est cool, on s’éclate, ca nous donne pleins de droits que les autres n’ont pas, on a le droit de brutaliser, de choquer et de frapper qui on veut, suffit de prétexter que le mec semblait avoir des idées meurtrières à notre égard. Si on devait voir la chose d’un point de vue plus humain, on donne simplement un permis de tuer à des animaux qui ne vivent que pour écraser l’autre, mais l’humain n’est-il justement pas un animal simplement doté d’un peu plus de cervelles que les autres ? C’est pourquoi moi j’adore le système ninja, on a le droit de faire presque tout ce que l’on veut en général, et je ne m’en prive pas, pas pour rien que les femmes des soldats ennemis me redoutent et fuient en plaquant leurs mains sur leurs fesses, et que l’ennemi hurle en me voyant arriver. On se sent tellement puissant que c’en est jouissif ! Peut être que je suis fou, oui, mais la folie est un trait de l’humanité, or je suis humain, donc j’aime me sentir puissant, et fou !

Comment décririez-vous votre personnage ? Au niveau de son physique et de sa personnalité, de sa mentalité et dites-nous de quel type de ninja il s'agit (toujours sur sa manière d'agir et de penser).


Ah bah tiens ! En voila une question déjà plus intéressante, quoique plutôt simple à deviner, à croire que le fait que je vous menace de vous en coller une vous effraies assez au point de ne plus pouvoir me détailler du regard, mais soit, Setsu-sama n’est pas un homme de méchanceté ! Ou juste un peu…
Alors par où commencer… Mon visage tiens… et surtout mon regard qui en fait trembler plus d’un. Mes yeux sont des plus étranges car beaucoup de personnes ont pensés en les voyant que j’étais un démon issu d’un autre monde, même si cela était flatteur, ce n’était malheureusement pas le cas pour eux. Mes yeux sont dotés de pupilles d’un rouge écarlate, tranchant avec puissance avec le blanc nacré de mes orbites, un regard qui semble scintiller d’une lueur de malfaisance pour beaucoup, et de folie pour d’autres. Ma chevelure d’un blanc de neige se dresse en une forêt de pics abaissés vers l’arrière, une forme qu’ils adoptent presque naturellement je ne sais comment. Mais ce qui est le plus remarquable dans ma face, c’est le fait que la moitié supérieure de celle-ci est cachée derrière des bandages, seuls mes yeux et mon nez en dépassant alors. Ce n’est point pour dissimuler quoi que ce soit, mais simplement car je trouve que cela me donne une certaine classe. On retrouve d’ailleurs ces mêmes bandages autour de mon cou. Souvent traîne au bord de mes lèvres un peu trop fine à mon goût, une longue clope, que je fume ou pas, j’aime simplement pouvoir en mastiquer le bout.

Le reste de mon corps quant à lui est bien plus remarquable à mes yeux… Doté d’une puissante musculature, j’attire facilement le regard, car je ne me gêne jamais pour l’exhiber le plus possible, à tel point que je ne me balade en général que torse nu, avec pour seul vêtement une immense cape accrochée dans mon dos, d’une couleur vert émeraude et attachée au niveau de ma gorge par une pince en argent. Petite excentricité de ma part, cette cape est composée d’une partie supérieure qui englobe mon cou, et s’élève en hauteur autour de ma tête, particulièrement sur l’arrière afin de ne pas obstruer ma vision latérale. Les contours de cette portion sont tissés avec des fils d’or afin de marquer la richesse qui est mienne, ma position de chef de clan. Elle sert aussi bien souvent à dissimulée les quelques marques encore visibles de mon enfance qui strient mes muscles dorsaux sous la forme de rayures irrégulières, traces des quelques coups de fouets que j’ai reçu alors que je n’étais encore qu’un mouflet, méthode abjecte que mes parents avaient pour selon eux, me motiver à donner le meilleur de moi-même. Non pas que j’en ai honte, cela me donne évidemment une apparence plus bestiale, mais cela n’est hélas guère un atout pour le sex appeal selon moi…

Autour de mes poignets se trouvent deux immenses brassards d’acier trempés composés de différentes rainures. Peu de monde connaissent l’utilité de tels monstres qui ont tôt fait de paralyser les membres des plus gringalets des soldats vu leurs poids, mais pour un homme ayant ma force, ils représentent de magnifiques décorations, et des armes efficaces, car se prendre un tel truc dans la tronche, ca fait des dégâts non négligeables. Je porte autour de mes avants bras les mêmes bandages encadrant ma nuque et le sommet de mon visage, ce qui permet parfois de limiter l’impact des coups sur ma propre peau. Pour ce qui est du bas, je ne porte qu’un simple pantalon d’un brun clair, avec d’immenses sandales noires. Il m’arrive parfois de troquer ces vêtements que certains disent trop laxistes pour des tenues plus officielles, comme d’amples kimonos argentés ou dorés, avec les armoiries de mon clan tissés dans le dos.

Mentalement, on pourrait dire que je suis unique, à la fois redoutable et stupide selon certains… Mais je m’en fous à vrai dire. Le plus grand trait de caractère que l’on puisse noter chez moi c’est mon amour parfois décalé pour le combat. En effet, je suis un grand fan des rixes menées à poing battant et à crane craquant. J’aime entendre le son des os qui se brisent sous la puissance de mes coups, le regard parfois terrifiés de mes ennemis et victimes lorsque j’avance vers eux comme un chasseur débusquant sa proie pour la broyer impitoyablement. J’aime combattre, car les combats me procurent un sentiment d’existence inégalable, je me sens vivre comme jamais, c’est là que tout les sentiments et éléments existentiels de ce monde se mêlent, amour, haine, colère, terreur, vie et mort, c’est le plus grand théâtre de la vie ! Et puis comme je disais, c’est tellement jouissif de se sentir si supérieur aux autres, de leur faire comprendre que le patron, c’est moi, à grands coups de tatanes si il le faut, il n’y rien de mieux pour gonfler son propre orgueil et se sentir ainsi tout puissant, ce qui est tout à fait normal pour une personne de mon rang. Je n’éprouve en générale aucune pitié pour mes adversaires, sauf lorsqu’il s’agit d’une femme, mais j’y reviendrai un peu après là-dessus…

Ce qui est remarquable aussi, c’est le fait que pourtant, je sais être un véritable abruti, préférant être complètement décalé par rapport à la situation, capable de débiter conneries sur conneries dans des situations parfois catastrophiques ou critiques. Le pire, c’est que la plupart du temps, je ne suis même pas drôle il paraît, mais je sais pertinemment que ce sont simplement les autres qui ne sont pas évolués pour me comprendre. J’aime ne pas me prendre toujours au sérieux, même si lorsqu’il le faut, je peux devenir un véritable monstre, presque méconnaissable. Mais pire encore, ce que nombreux dans mon clan déplorent, c’est le fait que je sois probablement connu pour être le plus grand coureur de jupons de Kurasa, aimant profiter de toutes ces vierges effarouchés qui crient au scandale quand on soulève leurs jupes, mais couinent comme des truies quand elles finissent par ouvrir la porte de leur Eden. On me compare souvent à un coq affamé qui est capable parfois d’abandonner momentanément la tâche qui lui est confiée pour courir après une belle paire de fesses se dandinant. Mais cela est tout simplement encore une facette d’une de mes devises, ne jamais se prendre au sérieux, cela nuit trop à la santé de garder la raie de son cul trop serrée.

Quels sont les évènements les plus marquants de la vie de votre personnage ? En quoi ont-ils influencé sa mentalité et sa façon d'être ?


Mon histoire… Je n’aime pas spécialement vivre dans le passé, mais soit, le grand Setsuri va vous faire l’infini honneur de vous le raconter, mais à la moindre interruption, je vous pète la tronche. C’est très probablement on enfance qui a façonnée mon ardent désir de me faire remarquer, d’être plus puissant que les autres, de toujours avoir ne serait-ce qu’une tête d’avance, et d’attiser autant le désir que la terreur aux autres. Ce fut probablement certaines des coutumes les plus morbides des extrémistes de mon clan qui façonnèrent mon caractère et la rare violence dont je fais preuve dans de nombreux cas et domaines. Les plus forts avaient pour coutume d’exiler les plus faibles dans les quartiers les plus dégoutants dans le territoire qui appartenait aux Gogyou, rares étaient les exceptions. Ceux qui formaient ainsi ces rejetés appelées les forts le clan supérieur, et se nommaient eux-mêmes les inférieurs, qui toutefois gardaient le rêve de pouvoir un jour revenir dans la partie la plus puissante du clan. Mes parents faisaient partis des plus faibles du clan, et c’es en moi, lorsque je naquis, qu’ils placèrent tous leurs espoirs pour regagner leurs droits et leur place dans les hautes sphères, comme la plupart des familles qui étaient ainsi exilés. Cette enfance fut lourde car privée d’innocence et de jeux, seulement ponctués de souffrance, de pleurs et de combats. Les entrainements du clan même chez les faibles, étaient particulièrement retors, peut être plus encore que chez les puissants, car le désir de former un guerrier capable de remonter l famille toute entière dans la partie principale du clan était puissant chez tout ceux qui étaient ainsi traités en paria. Et Parmi ceux là, j’étais de ceux qui étaient les plus faibles, et qui étaient condamnés ne point survivre bien longtemps. Contrairement au clan principal, les rejetés misaient tout sur la violence et la surenchère d’entrainements, alors qu’au sommet, ils s’entraînaient de façon plus clémente, car déjà disposés à être puissant.

Finalement, lorsque j'eus 7 ans, un membre du clan supérieur qui avait eu la curiosité de venir jeter un coup d’œil à out ces parias qui espéraient un jour reprendre leur place, me remarqua alors d’un entraînement particulièrement difficile et cruel que m’avait imposé mon père, et le châtiment redoutable qui vint ensuite de part mon échec, infligé par ma mère. Ce ne fut guère ma volonté ni ma puissance qui marquèrent cet homme, mais la haine et la colère qui brûlaient dans mes yeux, dansant tels des serpents enflammés menaçant de mordre avec violence les responsables d’une telle souffrance. C’est cette haine qui transpirait de moi, qui attira cet homme qui me proposa alors de me prendre sous son aile, et de m’entraîner comme le font ceux du clan principal. Après de longues années passées à ses côtés, je pus enfin révéler mon véritable potentiel et éveiller le pouvoir propre au clan qui me permit de rivaliser avec ceux qui avaient la chance de ne point naître comme exilés. La puissance était dès lors mienne, et une seule envie parcourait mon corps, faire payer à mes parents leurs désirs égoïstes qui avaient faillis me briser, et qui avaient anéantis mon enfance. C’est avec une rare violence, que je descendis alors chez ceux qui avaient autrefois façonnés mon enfance, et que je tuais dans un déchainement de rage et de brutalité tout ceux qui se mettaient en travers de mon chemin et que je finis par finalement atteindre mes parents… Leur mort fut rapide, et leurs cadavres étaient méconnaissables sous le déluge de coups qu’ils avaient ainsi reçus. J’avais 16 ans.

L’homme qui m’avait prit en charge avait fait quérir plusieurs ninjas de sa famille pour me rechercher, ne trouvant plus trace de moi, et lorsque je revins dans la grande place du clan principal maculé du sang de ceux que j’avais massacrés, et surtout de mes parents, un sourire béat sur mes lèvres, hurlant d’un rire fou et mauvais, tous se figèrent dans un silence craintif, mais surtout écœuré, de voir ce que la folie du clan pouvait entraînait. Ce n’était pas un rire amer qui sortait toutefois de mes lèvres, mais un ricanement sauvage de joie et de bien être, une jouissance proche de l’orgasme face à ce carnage. J’avais éprouvé une rare joie à sentir les os craqués sous mes doigts, le sang couler sur ma peau. L’amour du combat, mais surtout des massacres venait de me marquer à jamais. Ce fut toutefois le chef du clan qui me remarqua alors, et qui finit par me prendre à son tour sous son aile afin de me former, car à ses yeux, qu’une personne puisse ressentir une telle jouissance au combat, était une bénédiction du ciel, ca il était le seul du clan à aimer se battre, à aimer tuer. Le lendemain, un autre trait de ma personnalité fut révélé, lorsque nombre de jeunes femmes de mon âge me regardèrent avec convoitise. Le sentiment de grandeur, de puissance et d’envie qui me parcourut ne me quitterait alors jamais, tout comme les nuits de dépucelages de ces dames qui s’ensuivirent. J’aimais le combat, la mort, mais surtout les femmes.

Lorsque j’eus 22 ans, le prestige que m’offrait ma position de garde du maître ne me satisfaisait plus, et ce fut suite à un long et terrible combat en public, que je finis par éliminer cet homme qui dirigeait le clan depuis déjà plus d’une décennie, et qui m’avait pourtant tant offert. C’était comme si je venais de tuer une seconde fois mon père, et nul remord ne venait écraser mon cœur, seulement un sentiment de joie inavouable, car je devis garder un visage neutre face au clan. Cette victoire écrasante me permit de me hisser au rang de chef du clan, et mes premières directives furent de rompre la coutume qui imposait l’exil aux plus faibles du clan, et de forcer ceux-ci à être acceptés par tous. Au fond de moi, je ne souhaitais à nul autre enfant du clan de subir encore ce que j’avais moi-même subis. Le chef faisait partie aussi d’une élite du village de Kurasa, et près un bref entretien avec le dirigeant de la cité un étrange homme aux yeux des plus fascinants tant ils inspiraient la puissance, j’héritais de la place de mon prédécesseur parmi les grands de ce territoire.

Cela s’est déroulé il y a déjà 3 ans.

Quel est le nindô de votre personnage, quels sont ses rêves et ses convictions ?



Un nindo ? C’est pas cette connerie que les gamins qui ont les hormones qui les démangent au point de bramer à tout les coins de rues leurs espoirs et désirs ? Je sais, je caricature, mais c’est en général le cas. Je ne suis pas du genre à me répéter sans cesse une fichue phrase afin de rameuter tout le temps mon but ou mon rêve. Bah, je vais arrêter d’être sarcastique, car en effet j’en ai un, mais non, je ne le gueulerai pas à toutes les sauces. Simplement, je veux devenir une légende, une légende de la castagne. Troll ! Sérieux, je veux tout, être puissant et riche !

Mes convictions ne sont pas forcement plus évolués, je ne crois qu’n moi, et en rien d’autre, car dans ce monde de merde, la seule chose qui prime, c’est la loi du plus fort, la loi de la survie. Je veux juste me tenir plus haut que les autres, en vainqueur, survivre à cette fatalité, et devenir assez grand pour pouvoir tout me permettre !

Quels sont les liens de votre personnage avec d'autres personnes , A qui fait-il confiance, envers qui est-il loyal, fidèle ?



Mes liens avec les autres ? Et ben dites donc, ca va être très simple de répondre, j’en ai aucun ! Ouais je sais, on pourrait penser que je suis asocial, mais c’est loin d’être le cas, seulement j’ai jamais trouvé la moindre personne à qui me confier, ou en qui avoir réellement confiance, c’est très dur de trouver des personnes dignes de moi dans un tel monde. Déjà de façon générale, je ne supporte pas que des larves s’accrochent à moi, donc on pourrait dire déjà que je suis assez condescendant vis-à-vis de la vermine des profondeurs.

Y a peut être bien une personne, mon kage, l’illuminé aux yeux pas très directs du tout en qui j’ai à peu prêt confiance, quoique… Il ne représente pas grand-chose pour moi, juste mon chef à qui je dois un minimum de fidélité, ce n’est pas glorifiant de mordre la main de celui que vous as donnés un peu de prestige.
Sinon je suis aussi connu pour être un gentleman avec la gente féminine, peu importe ses origines, seulement pour les amener dans mon lit ceci dit hein.

Votre personnage est-il attiré par la puissance, l'argent, ou encore le pouvoir ?


Le pouvoir… Ah le pouvoir, bien sur que je le désire, vu qu’il n’y a que cela qui permette de survivre dans ce monde pourrit jusqu’à la moelle. Il faut être puissant pour se hisser au dessus des autres. L’argent est la première des puissances, car elle permet évidemment de pouvoir presque tout acheter, armes, savoir, soldats, respect même parfois. Cela permet de s’acheter une place dans la société lorsque l’on n’est pas assez fort pour se frayer un chemin au sommet par sa seule puissance. La seconde puissance, c’est le pouvoir, la force personnelle. Je désire évidemment ardemment les deux, pour grimper encore plus les échelons et regarder tout ce beau monde de haut en me foutant ouvertement de leur gueule car je me tiens au sommet de la montagne de leurs cadavres. Je veux me tenir au sommet, devenir un roi et guider ce troupeau de chieurs, et ce n’est qu’en étant tout en haut qu’on acquiert assez de respect pour ne plus être méprisé, et plus on est puissant et grand, plus on peut faire de choses, voir tout ce que l’on désire, tout en permettant à ce monde de se tenir mieux. Ce genre de rêves est peut être un rêve impossible, mais en tant qu’humains, nous nous dépassons bien souvent pour réaliser l’impossible, on dit parfois que le pouvoir de réaliser des miracles est propre aux dieux, mais les miracles appartiennent aux cœurs des humains, et c’est pourquoi je peux toujours espérer un jour y arriver, sait-on jamais. Mais je m’amuse déjà assez comme ca après tout.
Quelles sont les croyances de votre personnage ?


Les dieux hein…. C’est pas ces blaireaux qui s’amusent de nos déboires en ce monde en siégeant tranquillement au dessus des nuages dans leurs châteaux d’argents immatériels ? Bah ! Je ne crois en aucun cas en ces entités fausses et répugnantes, les vrais dieux se bougent le cul pour sauver et protéger ceux qu’ils ont crées, et ne les laissent pas trainer dans la merde jusqu’au cou comme c’est notre cas en ce monde. Le seul dieu qui semble s’être penché sur moi est probablement le dieu de la guerre, ou de la destruction, car celui-ci m’a vraiment comblé jusqu’au plus profond de mon âme, comblant bien souvent mes envies de batailles et de carnages, de pillages et autres exactions lubriques. C’est probablement la seule de ces créatures éthérées en laquelle je place ma confiance et mes croyances. Certains décrivent d’ailleurs ce fameux Rikkudou comme un dieu, mais à mes yeux ce n’est rien de plus qu’un humain qui fut doté de plus grands pouvoirs que le commun des mortels, après que lui ou d’autres se prennent pour des dieux, je m’en secoue les steaks. Si on parlait d’un vrai dieu, ce serait probablement ce démon de légende doté de 10 queues qu’il aurait affronté et scindé en 9 démons miniatures qui sont les responsables du chaos de ce monde, seuls des dieux pouvant amener une telle déchéance. Je m’en fiche d’ailleurs de ce qu’ils ont fait, mais je souhaite encore qu’il y en ait de vivant, juste histoire de lui exploser la gueule, de mesure ma force à la sienne !
Quels sont les points forts et les points faibles de votre personnage, aussi bien au niveau de sa psychologie que de son physique ?


Des points faibles ? Niahahahahahah ! Soyez pas chiches bandes de bouseux, le grand Setsuri-sama n’a absolument aucune faiblesse, aucun défaut, je suis juste parfait, et si vous ma belle là n’y croyez pas là, je vous trainerai ce soir de force ce soir au pieu, vous verrez que j’ai aucun défaut kukuku.
Vous insistez je vois, cela commence à devenir lourd vous savez ? La baffe bien sentie n’est plus très loin… Bon ok.
Comme vous l’aurez je pense compris, je suis d’un tempérament particulièrement impulsif, et j’ai de fortes tendances à me jeter sur l’ennemi sans trop réfléchir, ce qui est en soit une certaine forme de faiblesse. J’agis bien trop souvent sur un coup de tête sans me soucier des répercussions de mes actes, ne me soucient que de mon plaisir personnel au détriment de celui des autres, et ce surtout pour les combats, préférant me réserver le gros de la bataille quitte à faire fi de certains pré requis stratégique mis en place par l’équipe entière dans laquelle je suis. Toutefois il ne faut pas croire que je sois un abrutit complet qui se jette dans la mêlée sans garder à minima la tête froide… En effet, si je rut souvent sur l’ennemi sans préambule quelconque pour éprouver au plus vite le plaisir de la bataille, il reste que même dans le feu de l’action, je sais garder la concentration nécessaire pour établir de redoutables stratégies, qui restent cependant bien souvent à un niveau seulement personnel. Mais j’écoute quand même et sais me plier aux tactiques de groupes…. De temps en temps, et sais aussi compter sur les autres, tout comme (parfois aussi) éviter le combat si il le faut vraiment.
Orgueilleux je suis aussi, bien trop même, j’ai la fâcheuse tendance à me croire assez intouchable pour prendre de gros risques en combat, un état de fait renforcé par le fait que je sais facilement faire fi de ma propre souffrance, de mes blessures, pour continuer le combat dans un état même de plus en pus excité. Je sais pertinemment que mon orgueil exacerbé pourrait très bien un jour ou l’autre me jouer des tours, mais suis bien trop arrogant pour le reconnaitre explicitement, même si je sais parfois reconnaître mes torts et sais aussi où se trouve ma place.
Physiquement, je n’ai aucun point faible ! Et là je suis vraiment sérieux mes enfants… Je dirais simplement que le manque de discrétion qu’impose mon physique sont déjà un assez gros point faible en sois, car un géant aussi brutal que moi ne passe en général jamais inaperçu, et que toute tentative d’être discret ou de faire de la filature est à proscrire quand on est dans mon corps. Mais je m’en fous, j’aime pas faire l’espion, je préfère cogner, et vu mon endurance et ma force, je suis bien logé !

Quels sont les goûts, les habitudes, les manies, les toc de votre personnage ?


Vous commencez sérieusement à me gonfler là… Vous posez toujours les mêmes questions, c’est à s’en demander si vous avez de la merde dans les oreilles quand je vous parle, je vous parle de moi depuis un moment déjà, et vous captez vraiment rien sérieux… Bon, je vais faire encore quelques efforts de patience avant de vous encastrer dans le mur d’en face et de faire du décalquage.

Comme vous l’avez déjà deviné, j’aime par-dessus tout me battre avec les autres, éprouver ma puissance face à celle des autres, et ressentir l’immense satisfaction de fouler le cadavre de mon adversaire de mes pieds et de me hisser au dessus de lui. Faibles ou puissants, j’en ai rien à cirer, tout le monde est apte à recevoir mon poing dans sa gueule, et à faire gonfler mon orgueil démesuré. Je prends un malin plaisir à réduire mon ennemi à rien, lui faire endurer la terreur et la souffrance, que dans ses yeux se gravent à jamais l’image d’un géant impossible à atteindre et terrasser, d’un monstre trop grand pour lui. Je me repais de la terreur et de la crainte que j’inspire à ceux qui ont à faire à moi.

J’ai aussi la mauvaise habitude selon certains de trop souvent filer et renifler le cul des femmes avec une insistance qui en devient presqu’indécente. Les femmes que je combats sont d’ailleurs toujours les plus traumatisées par ma personne, car en plus de les écraser impitoyablement et de finir par les tuer sans aucune pitié, je prends un malin à plaisir à les souiller et à profiter de leurs corps, pour mon plaisir lubrique, mais aussi pour la souffrance que j’inspire à ces créatures. Ce sentiment qui m’habite de vouloir me faire reconnaitre de tous ceux que je rencontre comme étant un être supérieur et redoutable est un peu ce qui façonne ma façon d’être et mes habitudes.

Souvent les mains dans les poches, ou une main derrière la tête lors des discussions, en train de me gratter l’arrière du crâne, j’ai ces manies parfois dérangeantes qui me font passer soit pour quelqu’un de renfermé, soit mal à l’aise face à l’autre, mais c’est une simple manie que j’ai, et qui marque de temps à autre sans qu’on le sache du fat que je suis tout le temps comme cela, mon ennui et le fait qu’en ai rien à battre de ce que dit l’autre. J’ai aussi l’habitude de passer mon temps à mâcher lentement et doucement le bout de mes clopes afin de les fumer, ou de taper mes poings l’un contre l’autre, signe manifeste de mon impatience ou de ma joie. Je siffle souvent aussi, pour chantonner ou autre chose, et souvent pour appeler les filles qui passent devant mes yeux. Lorsque je suis seul, j’ai pris la mauvaise habitude de garder la main dans mon froc pour gratter les bourses… Pas très raffiné je sais, mais typiquement masculin surtout.

Votre personnage a-t-il des préjugés ? Que déteste-t-il ?


Mes préjugés, voila un terrain bien houleux vu le village dont je fais partie…

Le plus grand de mes préjugés vient du fait que je ne peux pas encadrer tout ces blaireaux qui se baladent avec un manche à balais enfoncés dans leur trouffion. J’ai parfois l’impression qu’en mettant une olive dans la ride du milieu de ces gars, on pourrait remplir tout un tonneau avec de l’huile ! En somme, je n’aime guère les personnes qui se prennent trop au sérieux u point de ne jamais desserrer les fesses et savourer l’instant présent. Même si ils sont nécessaires, l’excès de séreux qu’ils peuvent avoir est parfois bien trop nuisible au bien des tâches et missions qui sont confiés, car pas assez ouverts, ils nuisent à l’entente des équipes et la volonté d’être efficace. Et malheureusement comme vous vous en doutez, ce genre de personnes pullule à Kurasa, mais je n’ai du mal qu’avec ceux qui sont vraiment dans les extrêmes de cette attitude.

J’ai aussi beaucoup de réticences à côtoyer les personnes qui vouent de puissants cultes à toutes ces sois disant divinités qui ont depuis trop longtemps abandonné notre monde pour nous laisser dans la misère et la souffrance.

Même si j’aime combattre et frapper plus que tout, j’ai du mal avec la violence et la cruauté gratuite pour le simple nom de la hiérarchie, ou de la faiblesse des gens, il n’y a ni faibles, seulement des humains, mais les puissants toutefois existent, j’en suis la preuve vivante ! Je sais que c’est assez contradictoire étant donné la joie que j’éprouve à écraser les autres, faibles comme puissants, mais je ne le fais que pour l’amour du combat et du sentiment de puissance que j’ai, et non pour de stupides histoires de classes sociales ou de rangs. Nous sommes tous égaux de base, et seule la puissance au combat nous permet vraiment de nous départager.

Comment votre personnage définirait-il son devoir sur Terre ?


Bof, j’ai pas vraiment de rôle sur terre, sauf celui d’exister en tant qu’être humain. Je ne me vois nulle tâche divine ni autre mission à la con à accomplir en ce bas monde, je suis juste un être humain comme les autres, mais qui se sait supérieur au commun des mortels, et qui n’a de but avoué que celui d’être le plus admiré et craint possible.

Si je voulais en rire de cette question, je pourrais très bien dire que mon but en ce bas monde est simplement de foutre le plus de beignes possible aux autres, histoire de marquer au poing mon nom et mon existence sur la gueule d’un maximum de personnes. D’un point de vue plus politique, de part la puissance et le rôle qui m’ont été confiés, j’ai un devoir, celui d’aider à guider la populace de Kurasa vers un meilleur monde, où qui sait, ces foutus dieux auraient enfin la vertu de se pencher sur notre cas. Je ne me vois aucun autre rôle réel, à part celui de vivre ma vie au jour le jour, de combler le plus possible toutes les envies qui parcourent mon corps et mon esprit. Comme je dirais, Enjoy and Exciting, et c’est tout, pas besoin de se faire plus chier à chercher une interprétation existentielle à tout et rien.

Et Vous ?

Jeune homme de 23 ans rentrant en école d'aide soignant à la rentrée. J'ai connu le fow via Lucas qui voulait qu je fasse partie du staff, mais ayant eu la flemme XD


Dernière édition par Gogyou Setsuri le Ven 10 Aoû - 14:22, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Gogyou Setsuri   Gogyou Setsuri EmptyMer 8 Aoû - 20:14
J'ai vu sur une autre présentation un test rp qui ne prend pas en compte le contexte actuel, donc je tente ma chance aussi, si ca va pas, j'en prendrais un qu'on me donnera =P


Test rp : " Un nouveau monde s’ouvrait à moi, et j’étais à présent un membre d’une organisation qu’on appelait la lune rouge. Je ne connaissais rien de mon passé, et même si j’avais toujours l’envie de le retrouver, je ne cherchais pas spécialement à en découvrir la vérité, car j’avais cette vie qui m’étais offerte, et elle me plaisait plus qu’assez. Caché dans l'ombre, j'étais le titan qui vivait dans les ténèbres, sondant le monde, mais prêt à raviver une lumière destructrice."

Décris nous ta vision du monde, de l'Akatsuki, tes espoirs, ce que tu en attends, tes apprioris dessus.








Test :

Le temps est une étrange fascination qui se laisse conduire vers des sentiers nouveaux, étranges et redoutables, ravivant tout un univers de souvenirs et de sensations. Nombreuses sont les personnes qui semblent se complaire dans un monde, dans un univers propre qui se laisse border par des rivières de souvenirs et de souffrance, proférant alors l’aveu d’un souhait inavouable, cruel et sordide, mais désirant plus que tout se jeter à corps perdu dans cet océan de promesses et de désillusions, mais bien incapable d’y parvenir car les chaînes du destin s’imposent comme garde fou d’un esprit tordu. Au détour d’une ruelle, d’un paysage, d’une sensation, d’un regret, d’un remord, je ne vois que le chemin qui se dresse face à moi, imperturbable continuité comme si ce sentier était tout tracé et m’appelait de son pouvoir, mais bien incapable alors de m’autoriser à me retourner car nulle échappatoire ne m’attend en arrière. J’ai perdu depuis déjà ce qui me semblait être une éternité, ce qui faisait de moi… « moi », impossible alors de se voir attribuer une mission et une destinée, de désirer et d’implorer, tout simplement d’avoir un but, car seules les limbes d’un autre monde qui semblait se perdre dans un néant grossier, m’attendaient derrière moi. On pouvait tout simplement me décrire comme un nouveau née dans un corps d’adulte, un enfant qui aurait prématurément grandit et qui se serait retrouvé enfermé dans un corps qui aurait déjà bien vécu, mais qui n’était point capable de se lier à l’esprit, l’un regardant devant, l’autre en arrière. Comme un enfant sans attache, je m’étais dès lors raccroché à la première personne qui était venue à moi, s’enquérir de mon existence et de mon droit à caresser la lumière et de continuer d’avancer sans être prisonnier des ruines de mon passé perdu, à jamais ensevelit sous les gravats et les cadavres carbonisés qui ternissaient une fresque vaporeuse mais si distincte à la fois. Comme un enfant oui, je m’étais attaché à la première image, la première parole qui m’était adressé, j’étais de nouveau née, brisant une coquille qui s’était évanouit dans le paysage d’un pays appelé Kiri, et comme l’oisillon appelant sa mère, j’étais l’adulte enfantin appelant l’espoir et le renouveau, et j’acceptais cette main tendue. J’étais un être à part, car étrange et puissant, parfois capable de compassion mais aussi d’une violence et d’une cruauté noire et affamée, me laissant guider par une impulsion nommée instinct, l’art du combat était une chose importante à mes yeux, un désir de faire valoir mon existence et mon nom, et d’inscrire ma légende dans le corps de mes ennemis. Ce monde qui m’accueillait et m’autorisait ainsi à le fouler de mes pieds, était une merveille qui se destinait au plaisir des sens et des yeux, mais aussi s’affichait comme une mère qui me donnait le droit à une nouvelle existence. Contrairement à beaucoup, je n’ai toutefois guère un but réel, ma seule aspiration étant de pouvoir afficher la domination de mon être et de ma force, et que mon nom soit reconnu de tous, je désirais que ma vie elle-même soit reconnue, on pouvait y voir là un désir profond de rompre avec un passé perdu, et de me créer ainsi une nouvelle identité. Ainsi, encore, comme l’enfant malléable, je me calquais aux idéaux de ce faux père, cette fausse mère même, qui m’avait recueillit à ma renaissance, et ne voyait le monde qu’à travers ses yeux, calquant et singeant un mode de pensé qui n’étais pas forcement acquis à mon cœur. Mais je ployais volontiers face à la raison et aux faits, j’en avais plus appris que nécessaire, et je savais pertinemment que ce monde était une immense plaine souillée par le sang et la folie, un monde qui se devait d’être détruit et reconstruit, ou simplement amené à accepter une nouvelle image, une nouvelle utopie, même si pour cela le sang et la guerre étaient les seuls armes valables pour faire ploire les volontés ennemis. Dans cette volonté sinistre et violente, je me trouvais un plaisir malsain à évoluer, car amoureux des rixes et batailles, j’étais amené à combattre des adversaires puissants et dignes de ma personne, des choses qui à elles seules avaient acquis ma loyauté.


Le monde pour moi était un immense terrain de jeu, de combat où je pouvais m’adonner à mon hobbi favori, et ainsi graver mon nom d’une nouvelle estampe, participant ainsi en parallèle à la volonté de mon groupe, et au modelage d’un nouveau monde. Mes espoirs, mes vœux et mes désirs sont là, le droit à vivre, le droit d’être connu et reconnu, moi qui n’ait point d’identité propre, je voyais en ces actes et batailles une occasion en or de faire valoir mon droit à vivre et à exister, à avoir une identité et un nom, des choses simples, mais pourtant pleine de puissance et de beauté pour un être tel que moi. Je parlais de groupe, mais l’Akatsuki à laquelle je fais dorénavant partie, recueillit par l’un des leurs qui n’est probablement plus aujourd’hui, est tout simplement une sorte de foyer dans lequel je m’abrite, et comme le digne enfant de la maison, je m’exécute lorsque une tâche est donnée. Je n’y vois guère de choses de plus, et c’est avec une prétendue indéfectible loyauté que je m’adonne aux devoirs et missions qui incombent à mon rang et la puissance qui m’appartient. Il n’y a guère de raisons et de but, mais simplement la vision d’un enfant qui s’est attaché à une chose qui représente une prote de salue pour son esprit, son cœur et son âme vidés d’existence et de souvenirs, une nouvelle raison d’être à laquelle je m’attache désespérément en quelque sorte. Mais idéologiquement parlant, je savais que ce groupe pouvait représenter un avenir pour le monde lui-même, offrir une nouvelle chance à celui-ci, une chance de renaître tout comme moi dans un univers sans guerre et désolation, et dans lequel notre notoriété serait telle que notre simple nom et existence suffirait à éteindre toute flamme de conflit. Un univers dans lequel le renom et l’approbation de mon être serait des choses acquises et sûres, et dans lequel mon existence se verrait érigée au sommet auquel elle appartient de plein droit. Malgré une part d’ombre persiste dans chaque lumière et décision, un adage dit ainsi que rien n’est tout blanc ou tout noir, mais toute chose est grise, ainsi au sein même des ténèbres se trouve toujours une flamme de lumière délicate, et au cœur même de la lumière persiste toujours une ombre nébuleuse attendant son heure. Si je me réfugies au sein des ténèbres de ce monde, l’Akatsuki, bien que désireux d’apporter un avenir meilleur, j’ai comme tout être mes ombres et lumières, et comme tout être dénué de nature ancienne, comme une créature juvénile et enfantine, je m’en vois malléable bien que mon orgueil monstrueux soit une arme contre la manipulation, ainsi je redoute parfois de me laisser guider dans ces ordres et tâches sans voir quelque chose que je ne saurais voir, mais qui trahirait peut être le fait que j’agissais pas forcement pour une bonne cause. Malgré tout mon égoïsme et mon désir de me voir enfin briller était plus forte que mes appréhensions, et je gardais cachait dans la tanière de mon esprit les doutes quant à ma tâche et sa nature même, et le fait que mon passé pourrait peut être un jour ou l’autre revenir à moi, et me dévorer, m’arracher à mon but et mon existence. Saurai-je alors faire la part du bien et du mal, de mon passé et de mon futur, de ce que je dois être ?

L’avenir reste incertain, mais seul le présent compte, ainsi moi, grand autocrate des flammes, serait le roi des ombres dansantes dans la lumière du feu, et écraserait impitoyablement tout ceux se dressant face à moi et mon organisation, réduisant à néant ceux qui me défieraient sans en être digne et capable, et affrontant avec joie et folie ceux qui me permettraient de briller et d’exister.
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MessageSujet: Re: Gogyou Setsuri   Gogyou Setsuri EmptyVen 10 Aoû - 10:23
Up pour dire que c'est complet, j'ai pu mettre le code du réglement x)
Si il y a des modifs à faire pour le rang spécial, je le ferais x)
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MessageSujet: Re: Gogyou Setsuri   Gogyou Setsuri EmptyVen 10 Aoû - 10:29
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MessageSujet: Re: Gogyou Setsuri   Gogyou Setsuri EmptyVen 10 Aoû - 14:23
Et c'est bon j'ai le second code !
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MessageSujet: Re: Gogyou Setsuri   Gogyou Setsuri EmptyVen 10 Aoû - 18:19
Bon, en ce qui me concerne tu es validé. une cohérence presque parfaite avec notre contexte, un personnage cependant trop peu profond à mes yeux pour le grade que tu vises mais après tout ça va avec sa mentalité^^

La qualité d'écriture est vraiment très bonne, la longueur m'a toujours gonflé, surtout que le concept du forum in rp c'est entre 10 et 40 lignes, le jeu pour le jeu. mais là, c'est une présentation et un test rp, donc ça va^^ Je disais donc qualité d'écriture extrêmement bonne, les rares fautes sont dues à de l'inattention, ton texte est prenant et ton personnage me fait vraiment marrer.

Avabt, je faisais des pavés sur ce qui va et ne va pas, mais là c'est par un gros manque de temps que je t'écris un post aussi court.

Pour moi, c'est donc (comme sur tous mes forums) avec plaisir que je te valide au grade que tu demande, soit prophète level 11.

Le lancé de dé:

L. Sasurai a effectué 1 lancé(s) d'un Gogyou Setsuri Test-raiton (Parchemin de chakra.) :
Gogyou Setsuri 54723510
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MessageSujet: Re: Gogyou Setsuri   Gogyou Setsuri EmptyVen 10 Aoû - 18:21
Double post afin d'éviter de changer l'affinité, car un édit provoque un relancement du dé: tu as le fuuton, mais tu peux changer cette affinité principale pour le raiton, car c'est l'affinité que tu dois avoir avec le nintaijutsu (les autres ne donneraient rien qui n'existe déjà où qui soit cohérent)

En gros, tu dois obligatoirement avec le fuuton dans ta FT, mais le raiton peut passer en affinité principale en vue de ton Kekkei.
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MessageSujet: Re: Gogyou Setsuri   Gogyou Setsuri EmptyVen 10 Aoû - 18:54
Pas de soucis pour l'élément, je comptais le prendre de toute façon. Je prend toutefois éffectivement raiton en élément principale pour concorder avec le clan ^^
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MessageSujet: Re: Gogyou Setsuri   Gogyou Setsuri Empty
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