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Que le meilleur soit son prochain, que son prochain soit le meilleur. ~
(il faut savoir que le village dont je fais référence n'est pas Dokusai, ce n'est qu'un tout petit village qui n'existe plus de nos jours.)

C'était un soir de grande chaleur. Presque la canicule. Tout le monde essayait de se rafraîchir avec tous les moyens possibles. Cependant, dans une maisons de paysans, l'heure n'était pas tellement à la fête. Ichimaru-san allait être mit au monde. Son père, un homme de 40 ans et sa mère, la plus grosse pute du village était en train de préparer l'accouchement. Aucuns des deux n'étaient un ninjas, ils ne voulaient pas que leur fils soit un ninja. Personne ne voulait les aider pour accoucher, c'est seul, dans leur très petite maison qu'ils durent faire sortir leur fils du vendre de sa mère. Les cris du nouveau né était assourdissant et … Ichimaru-san recevait déjà ses premières claques … Il venait à peine de naître et son père ne pouvait pas supporter les bébés en train de brailler. La mère ne leva même pas le petit doigt pour empêcher son mari de claquer son fils. C'était un cercle sans fin, plus Akitaka recevait des claques, plus il pleurait fort … Ce n'est que quelques minutes après, que le voisinage vint pour prendre le bébé et saccager la maison entière. Ses parents ne montrèrent aucun signe résistance. En faite, si leur enfant aurait pu mourir ce jour là, ils auraient été bien heureux …
Voici pourquoi le bras-droit d'Eishi-san déteste ses parents. Il ne leur voue même pas un soupçon d'amour.

Il devait très souvent changer de territoire. La guerre faisant rage à ce moment, dans le Yuukan. Et le chef du village force ses parents maternelles à s'en aller, ils n'étaient qu'un fardeau. Tout les habitants approuvaient cette décision. Certains même disaient qu'ils devaient être brûlés. Akitaka ne savait pas encore qu'il allait peut être perdre à jamais ses parents. Se celui-ci aurait su qu'ils les avait abandonné et qu'ils allaient être chassés du village, l'enfant n'aurait pas demandé qu'ils restent. Et c'est ainsi, pendant 6 ans, que l'accroc aux parties reproductrices parcourues le Yuukan, se déplaçant avec son village. Il appréciait de déménager souvent, celui-ci pouvait observer de nombreux paysages, apprendre pleins de choses sur le monde. C'était un enfant comblé.
Mais un jour, les protecteurs du village ne purent faire face aux assaillants. Le village était voué à être détruit. Sans l'intervention de ninjas qui étaient contre les ennemis, Ichimaru-san serait mort à l'heure où je vous parle. Ils n'étaient pas spécialement venus nous sauver, ils étaient juste venus pour affronter les ninjas du camp adverse. Mais, les « bons » ninjas nous protégèrent tout de même, nous étions allié à eux, nous leur rapportions des réserves de nourriture, ils étaient obligés de nous protéger !
Ce ne fut pas un élément extrêmement marquant pour le vie de protagoniste, mais, il en a encore quelques souvenirs, il le dit lui-même.

Nous faisons un autre bon dans le temps. Cette fois-ci, le jeune homme a 14 ans. Il apprend petit à petit l'art ninja. Celui-ci était devenu l'un des plus respectés Genin mais aussi, l'un des plus orgueilleux, vulgaires, narcissiques. Je crois même qu'il n'y avait pas plus vulgaire que lui. Il traitait de sale « pute » toute les filles qu'il croisait et ceux, sans exception, même les commandantes de l'armée. Akitaka-san s'en foutait royalement de mourir. Et ça, tout le monde l'avait bien compris, déjà à son âge, Ichimaru-sama pensait qu'il n'était né sur Terre que pour mourir sur le champ de bataille. Le jeune adolescent su aussi pour la trahison de ses parents. Le presque-homme se jura de tué ses paternelles, de les tuer pour leur trahison. Mais avant cela, il devait les retrouver. Cela faisait déjà 1 an qu'il recueillait des informations sur eux, pour pouvoir les retrouver et jouer sadiquement avec eux. Le bras-droit était déjà tout exciter à l'idée de pouvoir manger les parties reproductrices de ses parents.
A cet âge, la chose la plus marquante pour lui fut la perte de plusieurs de ses amis proches. Malgré sa non-sociabilité de l'époque, celui-ci réussi tout de même à se faire des amis, des alliances sur lesquelles il pouvait compter. Peut être était-il trop aveugle à son âge ? Lui-même ne peut pas l'affirmer pour le moment …
Ceci se passa pendant une bataille acharnée. Les commandants périrent, il ne restait que les arrières lignes. Vous vous doutez bien que les arrières lignes, bah, c'était les Genins. A l'époque, elles étaient dirigées par le jeune homme. Quand il vit que les assaillants prendre le dessus sur eux, celui-ci ordonna à tout le monde battre en retraite. Même si ce n'était pas tellement du goût de tout le monde, il fallait écouter le chef. Akitaka faisait cela pour le bien de tout le monde, pour essayer de ramener tout le monde, sain et sauf, à la maison.
Ils traversèrent la forêt entière avant de trouver un refuge. Bien plus tard, arrivant à bon port, celui-ci remarqua qu'il manquait des Hommes, même beaucoup d'Hommes. Et … Il manquait surtout ses amis les plus proches.

Il se referma sur lui-même. Il comprit qu'aveuglé par l'amitié, l'amour que lui conférait ses amis, l'avait rendu aveugle. Le bras-droit se plaisait avec eux. Même trop parfois. Il avait aussi oublié que le champ de bataille était impitoyable … Ce fut l'un des événements les plus marquants de sa vie, c'est celui-ci qui fit que le jeune homme se rétracta sur lui-même, voici d'où vient sa non-sociabilité. C'est aussi ce jour qu'il comprit que les humains n'étaient qu'une sous-race. Une race ne comprenant même pas ce que représente une vie. Les Hommes sont nés pour se faire la guerre, jamais ils ne pourront trouver la paix. Se repliant sur lui-même, l’adolescent ne voulait plus faire confiance à qui que ce soit. Celui-ci voulait être seul à présent. C'est ainsi qu'il s'exila, ne supportant plus la compagnie humaine autour de lui. La société humaine était devenue un fardeau pour lui.

Le passage de la faux n'est qu'une mort méritée. ~

Le jeune homme était maintenant âgé de 17 ans. Tu avais maintenant retrouvé la trace de tes parents maternelles. Ils étaient cachés au fond fin du Yuukan, un endroit où personne n'aurait pensé y aller. Ils s'étaient bien planquer. Les connards ... Mais, maintenant que tu avais découvert leur petite cachette, tu allais pouvoir leur faire ce qu'il voulait faire depuis bien longtemps … Détruisant la porte, tu vis que tes parents m'attendaient avec impatience. Ils voulaient revoir leur fils disparu … Enfin, c'était leur excuse. Ma mère était toujours une aussi grosse pute qu'elle ne l'était avant, voir même plus. Mon père, quand à lui, était encore plus pauvre qu'il ne l'était avant. Ceux-ci avait fait 5 autres gosses. Cela te désespéré énormement. Quand ma mère se jetta sur moi pour me faire un câlin et un gros poutou, tu dégainas avec une grande rapidité ton arma, trancha la tête de ta mère, esquivant son corps tombant par terre par la même occasion. Agonisant sur le sol, gisant dans son propre sang, tu t'en foutais complètement. Ton père était habitué à voir ce scénario, lui aussi s'en foutait complètement. Il s'était marié avec pour avoir des gosses, c'tout. Tu envoyas la tête de ta mère contre la porte de la chambre des gosses, pour les réveiller. Et bien sûr, ils se mirent à geindre ... Ton père, lui, prit sa hache et alla se jeter contre son « fils ». Maîtrisant facilement ton père, tu lui découpa sa tête. Agonisant lui aussi à côter de sa femme, tu lui foutus un gros coup de pied, il passa pas la fenêtre. Entrant dans la chambre des bébés, tu cachas ton Katana derrière ton dos pour ne pas les effrayer, tu leur faisais un sourire malsain. Une envie meurtrière te poussa à découper leur petite tête, les amener dans la salle à manger, réunir les crânes pour pouvoir commencer ton festin. Car oui, tu voulais manger les corps qui agonisaient par terre, à coter de toi. Il n'y avait que le corps de ton père qui prenait l'air à l'extérieur.
Tu commenças à prendre les gamins, pour manger leur enveloppe charnelle. Ils étaient petits, y'avaient des os à curer, de la bonne viande. Bref, la totale. Tu allais devoir rester dans la maison de tes parents pour 2 jours car, manger tout d'un coup était une chose impossible pour toi lui et ton petit estomac. Mangeant les parties vitales des gosses, cœur, cerveau, neurones, poumons, estomac, tu te régalais. Tu curais aussi les os. Tu n'avais jamais mangé de la viande aussi bonne. Un vrai cannibal … Personne ne connaissait ton petit secret. Oui, celui-ci d'être cannibal. Tu as toujours aimé la viande humaine, pour toi, cela ne vaut pas la viande animal. Mais tu savais tôt ou tard qu'une personne révelerais ton petit secret, que tu serais bannis de la communauté à cause de cet attribut psychologique. 3 rejetons pour le midi et deux pour le soir, tu étais un homme comblé. Le soir arrivait et déjà, tu avais une pile énorme d'os. Mais bon, tu t'en foutait royalement, c'était pas ta maison mais celle d'inconnus t'ayant mis au monde.

Ce n'est que lendemain que les choses sérieuse commençait. Tu attaquais tes pseudos parents. Le midi, tu commenças par manger la femme. Découpant ses seins avec délicatesse, de bon et gros lolos, tu les mis de coté. Mettant ses globes oculaires dans un bocal rempli d'alcool pour les conserver, tu voulais les manger plus tard, avec ceux des gamins. Cette fois-ci, il y avait plus à manger que sur ses gosses. Cela ne te déplaisait absolument pas, Ichimaru-san. C'était même mieux pour toi. Un pur régale la meuf. L'après-midi, tu essayais de grossir le pénis de son père pour avoir un plus gros morceau à manger. tu réussis. C'était une grosse bite maintenant. Tu étais heureux de ton chef-d’œuvre ! C'est quand tu allais te mettre à table que des ninjas frappèrent à la porte. Tu ne craignais rien, tu étais fort. Des ninjas du camp ennemi, de l'âge où tu travaillais encore à la guerre. Ceux-ci étaient venus t'exterminer pour tout le mal qu'il a causé. Quand tu entendus ces propos, tu explosas de rire. Tu ne pouvais pas se retenir tellement que les paroles adverses ne tenaient pas la route. Quant ils surent que tu te moquais d'eux, la troupe de ninja t'attaqua. Bien sûr, ce n'était que des gamins qui ne connaissaient pas la guerre, ils ne savaient pas comment combattre contre un ennemi puissant. Ils ne purent rien faire, tu déchiquetas leurs corps pour les amener dans la maison et les manger, bien évidemment …

Tous les assaillants étaient des hommes, un pur régal pour toi. Tu allais devoir rester un peu dans la maisons des inconnus, ce qui ne te plaisais pas. Tu ne te sentais pas à l'aise dans cette vieille baraque ... Tu espérais pouvoir la quitter bientôt, la détruire. Mais pas avant d'avoir fini de manger tous les corps qui s'entassaient.