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 Sōjōbō Eishi ➝ ❝L'Œil qui régit le pays de l'Encre❞

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Sojobo Eishi
Sojobo Eishi
~ Admin' Tyrannique
Héritier de l'Ermite & Inkukage ~


Messages : 13
Date d'inscription : 09/05/2012

Dossier ninja
Niveau: 11
Renommée: Mondiale
Renommée effective ?:


Sōjōbō Eishi ➝ ❝L'Œil qui régit le pays de l'Encre❞ Vide
MessageSujet: Sōjōbō Eishi ➝ ❝L'Œil qui régit le pays de l'Encre❞   Sōjōbō Eishi ➝ ❝L'Œil qui régit le pays de l'Encre❞ EmptyJeu 19 Juil - 1:09
Sōjōbō Eishi
Sōjōbō Eishi ➝ ❝L'Œil qui régit le pays de l'Encre❞ Image_10
Age : ~ ??? ans, 29 ans d'apparence.
Village : ~ DokusaiGakure no Sato
Rang : ~ Shodai Inkukage
Clan : ~ Unique représentant du clan Sōjōbō, nom auto-proclamé.

Taille : ~ 179 centimètres.
Poids : ~ 69 kilogrammes.

Affinité(s) : ~ Katon ~ Suiton ~ Raiton
Spécialité(s) : ~ Dōjutsu ~ Ninjutsu ~ Taijutsu ~ Fuinjutsu

Code du Règlement :
Codage © Galatea
Quelles est l'identité de votre personnage ? Quelles sont ses origines, où vit-il actuellement ? Appartient-il à un clan ? Quelle enfance a-t-il eu ?

Son nom a traversé âges et contrées, a connu moult péripéties, moult batailles, moult tragédies. Une identité que les hommes ont couché à l'encre indélébile sur le dramatique et tortueux livre de l'Histoire. Une dénomination ayant bravé les méandres obscures et sanguinolent du monde Shinobi. Une renommée devenue légende. Né sans véritable patronyme, Eishi fut de ceux qui choisissent eux-même leurs noms et du néant de l'inconnu, il fit du nom Sōjōbō un écho de terreur s'étant encré sur les lippes et dans le cœur de tous les Shinobis. Né à la naissance de l'Ère ninja, il en est l'un des premier représentant. Son enfance, pour d'obscures raisons, lui est floue. Il se souvient néanmoins qu'elle fut heureuse et particulière. Il se rappelle avoir été un enfant en marge de la société dans laquelle il vivait et ce à cause de l'enseignement hors du commun de son père. Il détient de très vague souvenir de celui-ci, comme d'un homme plein d'amour, de foi en la Paix et profondément philanthrope. Chose qui a légèrement déteint sur lui. Il a aussi en mémoire le fait d'avoir partagé son enfance avec un frère et une sœur, mais ignore totalement ce qu'ils sont devenus et son esprit est dépourvu de détails précis concernant cette époque chaleureuse et pourtant brumeuse de son passé lointain. Frappé d'une bénédiction empêchant à son corps de connaître les affres de la vieillesse, il a foulé les terres du Yuukan dans leurs profondeurs depuis fort longtemps. C'est après un périple taché de sang et mutilé par la guerre qu'il a fondé la capitale militaire shinobi du pays de l'Encre, après avoir menacé des pires tourments le Daimyo d'Inku no Kuni. Il l'a nommé “Dokusai” pour que jamais dans l'esprit des habitants ne s'éteigne son ère totalitaire.
Comment votre personnage considère-t-il son village ? Et comment considère-t-il le monde dans lequel il vit, le système Shinobi et la race Humaine ?

En tant que fondateur, souverain et pilier socio-économique de DokusaiGakure no Sato, il est inutile de s'étendre sur le fait que la capitale shinobi d'Inku no Kuni occupe une place importante dans l'esprit d'Eishi. En effet, les efforts fourni pour la création et la direction du village durant nombres d'années prouve qu'il revêt une dimension certaine. Même s'il n'en témoigne guère, Eishi possède un profond attachement envers ce village qui représente une œuvre colossale qui à jamais laissera son emprunte sur le monde et qui lui a apporté la satisfaction d'avoir accompli quelque chose d'une ampleur d'un autre niveau que celle d'avoir simplement brillé sur le plan martial. Même si parfois, il quitte son village pour redécouvrir le Yuukan, par ennui ou par léger spleen. Il en est par contre tout autre du monde dans lequel il vit depuis déjà très longtemps. Pour l'avoir vu évoluer et se modeler, il possède un œil incroyablement critique et acerbe sur ce que les hommes ont fait du monde. Il pense que le monde a en quelque sorte mal tourné car il présente trop de disparité, même si cela peut paraître bien hypocrite de sa part, étant donné l'incroyable inégalité présente dans son propre village. Cependant, il reproche cela à l'humanité toute entière et à l'influence délétère qu'elle a eut sur lui, malgré son long vécu. Pour lui, l'humanité aurait besoin d'un recadrage brutal et impitoyable. L'homme ne mérite pas la pitié car il est inintéressant actuellement, du moins en grande majorité. Il se considère comme l'une des exceptions que le psyché humain décadent est pourtant parvenu à pervertir. Trouvant l'homme faux, faible et pathétique, il part du principe que tout homme mérite de mourir dans la souffrance tant qu'il n'a pas montré un certain affranchissement de cette perversion dont l'humanité a été frappée. Il prend par ailleurs plaisir à voir souffrir ses homologues. Il impute ses imperfections à ce déclin de l'espèce humaine, même si à l'extérieur il semble les assumer pleinement. À contrario, il possède un profond respect pour le système shinobi, qu'il semble avoir toujours eut au fond de lui, volonté hérité d'un homme né pour faire le bien. Il estime le système ainsi que ces représentants, l'art ninja étant pour lui le seul véritable art méritant de perdurer intarissablement. Même si la corruption est fortement présente au sein de l'ordre shinobi, corruption qu'il impute par ailleurs à la décadence du genre humain, il pense que le ninja est l'exemple sur lequel devrait se baser l'humanité. Un exemple fort, emplit de valeurs essentielles et possédant un respect de la hiérarchie. Malgré son ressentiment envers l'espèce humaine et sa misanthropie, les idéaux de son père ainsi que sa profonde philanthropie résident tout de même en lui, sous l'épaisse cuirasse de mépris et d'antipathie. Il a par ailleurs connut des relations profondes avec certaines personnes, mais leur rareté et leur caractère éphémère n'ont au final qu'épaissit sa cuirasse.
Comment décririez-vous votre personnage ? Au niveau de son physique et de sa personnalité, de sa mentalité et dites-nous de quel type de ninja il s'agit (toujours sur sa manière d'agir et de penser).

Eishi est un personnage qui se veut énigmatique, charismatique, hautain, assujettissant et ombrageux. Cela autant sur le plan physique que psychique. Somatiquement, d’un point de vue purement scientifique, c’est un homme de taille légèrement au-dessus de la moyenne, atteignant presque le mètre quatre-vingt dix, de poids moyen, faisant presque 70 kilogrammes et possédant un corps sec ainsi qu’une importante musculature. D’un point de vue plus influencé par le psyché humain, le descendant Rikudô est un fier représentant de la gente masculine jouissant d’un pouvoir attractif impressionnant, ayant été façonné par Mère Nature avec une diligence et un talent certain. Des membres inférieurs athlétique et souples, lui offrant une mobilité d’une vélocité rare et une force de frappe des plus effarante. Ceux-ci découlant d’une aine dessinée et taillée en V, elle même dominée par une ceinture abdominale symétrique, artistiquement sculptée et à l’épreuve des chocs violents. Au-dessus se trouve un véritable plastron musculaire, des muscles pectoraux peint avec finesse et pourtant d’une surprenante robustesse. Le verso de cette cuirasse humaine est à l’image de sa partie recto, abrupte et sculpturale. Même si se trouve, au niveau de la douzième dorsale, la preuve que son épiderme pâle n’est pas imperméable : une cicatrice laissée par une entaille de 5 centimètres de long et de 4 centimètres de profondeurs causée par un wakizashi. Plus au nord, des épaules râblées attachées à des trapèzes trapus, desquels tombent deux bras puissants. Des biceps et des triceps drus, apportant à ses coups une puissance troublante, des avant-bras et des poings d’une dureté mirifique, pouvant briser les os humains avec une aisance anormale. Il est à prendre en considération que ses caractéristiques physiques ce sont bâtis sur plus ou moins une centaine d’année d’entrainement. Un cou d’une longueur idéale relit ce corps parfaitement érigé à un visage plus que marquant. Présentant une agréable harmonie, il est composé d’un menton fin, fini en presqu’angle, de lèvres fines et pâles, cachant une dentition opaline, ceintes de joues très légèrement creusées. D’un nez fin, faiblement plissé vers le haut, surplombé par deux rubis flamboyant, des prunelles d’un éternel rouge écarlate et sombre, héritage des cellules de son paternel, patriarche des shinobi. Une hérédité qu’il détient depuis la naissance et qui jamais ne s’éteint. Autre héritage du sage se trouvant être de légères cernes cinabres. Ce visage, affichant une expression continuelle de froideur et de mépris, parfois teinté d’un sourire macabre, est encadré par une chevelure mi-longue hirsute d’un coloris ébène. Une apparence et une prestance attirant jalousie masculine et fascination féminine.

Sa personnalité est en accord avec son physique et son allure. Il détient une aura assujettissante et charismatique ainsi qu’une attractivité magnétique impressionnante. Possédant une fierté écrasante et sempiternelle, il est de ceux qui préfèrerais mourir debout que vivre à genoux. Haïssant ne serait-ce que l’idée que l’on puisse avoir de la pitié pour lui, il fait en sorte d’attiser la haine de ses ennemis, de telle sorte que même s’il venait à perdre le combat, il pourrait périr avec dignité. Il croit en les actes et pour lui les mots ne sont que de l’air brassé par un individu sommaire et inférieur possédant la capacité de dialoguer. Fier possesseur d’une hégémonie totale, il est un dirigeant implacable, impitoyable et inexorable. Fervent partisan de la tolérance zéro, il rejette l’échec et n’accepte pas la déception. Pour lui, lors d’un combat plus ou moins équitable, tant que la différence de niveau n’est pas un abîme considérable, le perdant doit être mit à mort sans aucune sorte de pitié, sauf dans le cas ou celui-ci mérite réellement la vie. N’aimant guère la vermine humaine, il prend plaisir à torturer les personnes qu’il considère comme des déchets, il aime voir la souffrance et l’angoisse les envahir, il se plait à faire couler leur sang de la façon la plus douloureuse possible, pour purifier l’humanité de ses délétères représentants. Possédant un caractère assez misanthrope et méprisant, il provoque souvent le malaise chez les gens qui se trouvent en face de lui. Mais même s’il affiche une sorte de déconsidération envers l’espèce humaine, il détient en lui la philosophie léguée par son défunt père : la foi en la Paix et l’amour de l’homme. Il peut même faire preuve de tendresse et de sympathie, voir d’empathie, ce qu’il essaye cependant de réprimer le plus possible. En tant que ninja, il privilégie la mission avant tout, et considère que si ses compagnons meurent durant celle-ci pour l’aider à accomplir son but, il se doit de respecter leur sacrifice. Une fois qu’il a pris une décision, il est quasiment impossible qu’il revienne dessus, se retourner n’est pas dans ses habitudes. Il lui arrive d’être mélancolique et d’éprouver des regrets, mais il cache cela sous une épaisse armure de mépris, de dédain. Il lui arrive aussi d’afficher un air d’ennui quand à sa position trop étouffante parfois, ou quand à l’attitude des gens qui l’entoure. Une lassitude qu’il affiche souvent sous forme de morgue. C’est donc un personnage à multiples facettes, dont le paradoxe et l’énigme créent un charme incroyable.

Quels sont les évènements les plus marquants de la vie de votre personnage ? En quoi ont-ils influencé sa mentalité et sa façon d'être ?

Ayant vécu plus d’un siècle, on pourrait aisément s’attendre à ce qu’Eishi ait connu nombres évènements marquants ayant successivement changé sa philosophie au cours des décennies. Et bien il n’en est guère le cas. Le descendant Rikudô n’a en réalité connu que trois véritables épisodes l’ayant transformé. Bien que jeune il abordait un caractère assez orgueilleux et froid, il baignait dans l’idéologie de son père, dans son immense philanthropie. Cet amour immense pour l’espèce humaine, héritage de son paternel, fut presque réduit à néant lorsque ce dernier mourut par la faute des hommes qu’il avait essayé d’instruire et d’aider, à qui il avait tenté d’offrir la Paix. Devant les immondices causées par les hommes et leurs soifs inconditionnelles de pouvoirs, Eishi muta en un personnage plein de mépris et de haine envers ces humains qui avaient profité d’un amour trop grand et naïf pour des raisons purement égoïstes. Son indifférence mua en morgue, sa froideur en haine, sa sympathie en dégout. Il eut pour but de détruire l’humanité actuelle pour la refonder sur les bases créée par le Sage, les bases du monde Shinobi. Le second évènements qui infléchit son éthique fut la guerre suivant la grande explosion des Bombes Bijuu. Un conflits armée d’une violence sans bornes s’étant prolongé sur neuf longues années, qui furent arrosées de sang et d’horreur. Toute cette abjection s’encra en lui de façon indélébile et le convainquit que l’humain est en réalité un animal pour qui la survie vaux toutes les atrocités. Mais cela lui appris aussi l’importance de l’émulation lors d’une dissension, le fait de pouvoir placer sa confiance en des personnes qui sont prêtes à mourir pour une cause juste. Sa haine s’est donc atténuée, voyant que l’homme n’est pas que mauvais et que cette nouvelle société qu’ils allaient fondé était pleine de promesses. La fin de cette guerre marqua chez lui l’envie de se purifier de tout ce sang qu’il avait fait couler mais aussi l’envie de retrouver cette émulation, cette fois-ci sous une forme plus importante et plus durable qu’une guerre. Il partit donc en quête d’hommes avec lesquels il pourrait reconstruire le monde et fonder une nation. Enfin, le troisième tournant ayant influencé sa façon d’être et de voir le monde fut la création de DokusaiGakure no Sato. Ayant pris ses racines dans un rêve du fils Rikudô, songe fait à la suite d’une perte de conscience inexpliquée, l’idée de créer un village entier se coupla avec celle de mettre un terme aux guerres claniques et permit à Eishi non seulement de ramener la Paix, mais aussi d’ériger un véritable héritage. Cela n’opéra pas des changements aussi profonds que les précédents, mais fit naître des sentiments très importants : l’attachement envers ce village et l’envie de le protéger, de le voir prospérer, perdurer, mais aussi la prise de conscience d’avoir de nombreuses responsabilités, notamment celle d’avoir des gens dépendant de soi. Et même si dans son village les inégalités sont fortes, le descendant du Sage fait tout de même de son possible pour faire vivre ses citoyens, même s’il le cache sous une cuirasse tyrannique.
Quel est le nindô de votre personnage, quels sont ses rêves et ses convictions ?

Le Nindô fut une invention du Rikudô Sennin, permettant à chaque ninja de suivre la voie du ninja avec une philosophie différente, sous un angle variant. Même si certain dérivèrent cela à leur but ou principale objectif, oubliant le sens premier de ce mot. Définir le Nindô d’une personne aussi âgée qu’Eishi n’est pas chose aisée. Pour être général et en remontant aux origines de son apprentissage ninja, il en devient évident que sa volonté de suivre les pas de son père, même s’il le fait inconsciemment, est encrée en lui de manière ineffaçable. Le désir profond d’amener, de guider le monde et l’espèce humaine vers la Paix et l’harmonie est profondément gravé dans son subconscient, même altéré par la perte de mémoire qu’il a subit. Mais aux cours de sa longue existence, cette voie connu plusieurs déviations dues aux expériences qu’il a traversé. La mort de son père fit naître en lui le désir incoercible d’annihiler le système féodal, preuve d’une humanité décadente et malsaine. Un desideratum qui le mua en une véritable machine à tuer qui empila les cadavres de ses adversaires durant la grande guerre, éliminant ses belligérants les sans la moindre once de pitié et faisant même preuve d’un sadisme non dissimulé. Ces neuf années de conflits le ramenèrent finalement sur les traces de son père, faisant cependant naître en lui une nouvelle ambition, celle de reconstruire un monde à son image. Un Nindô qui fut cependant perverti par la soudaine soif du pouvoir dissimulé par le Rikudô Sennin dans le rouleau à l’origine des guerres claniques. Suite à quoi une partie de sa mémoire fut effacée et fut laissé en lui le rêve de fonder une nation. Ce qui nous amène à la voie que suit actuellement le descendant du Sage, celle de faire prospérer et perdurer le village qu’il a créé, la nation qu’il a érigée, Dokusai. Le désir d’être le pilier central d’un édifice que l’on admira pendant encore nombres de décennies. Mais est aussi apparu le dessein d’élever cette création au-dessus de celle des autres, de faire de ce village le plus puissant, le plus craint. Peut être est-ce la le vestige d’un désir de conquête inassouvi ? Eishi lui-même ne saurait le dire. Il reste tout de même des choses immuables, telle que son intime conviction que le Shinobi est non seulement un modèle, mais l’avenir d’une espèce humaine qui arrive à un point où elle doit évoluer pour perdurer. Ou encore le fait que les actes et les sacrifices du Rikudô Sennin sont et seront à jamais les guides de l’humanité. Mais si nous devions réellement lui définir un Nindô immuable et atemporel, qu'il transmettra à ses disciples, s'il en a un jour, il pourrait se résumer en une phrase : “Si vis Pacem, para Bellum” (« Si tu veux la paix, prépare la guerre »). Ayant hérité de la pensée que la Paix ne pouvait s'obtenir que par la force, il possède en lui l'intime conviction que si un jour une Paix durable et saine doit se mettre en place, elle le sera à la suite d'une guerre sanglante et purificatrice.
Quels sont les liens de votre personnage avec d'autres personnes , A qui fait-il confiance, envers qui est-il loyal, fidèle ?

Certaines personnes trouvent le réconfort et la stabilité dans la sociabilité, la nécessité d’être entouré d’autrui, de partager des moments avec des fréquentations, le besoin d’échapper à la solitude. D’autre non. Eishi fait parti du second groupe de personne. En effet, il n’est pas quelqu’un d’extrêmement social, même si s’intégrer à la société ne serait absolument pas un problème pour lui. Il est juste à savoir qu’il possède une certaine misanthropie, il méprise la grande majorité des gens qui l’entourent et qu’il rencontre. Malgré sa longue existence, rares sont les personnes ayant réussit à établir un véritable lien avec lui. Son cœur vieillit par le siècle passé à écumer les terres du Yuukan se sent lié de manière très profonde à trois êtres. Deux d’entres eux sont étrangement flous, comme si l’on les avait effacés mais que d’eux résidait toujours une trace, imprimer d’une façon indélébile et dont l’absence se manifeste par un vide, une vacuité impossible à remplir. Un rêve, un cauchemar, deux ombres appartenant à un passé emplis de fautes et de remords. Peut être se manifesteront elles dans le futur ? Seul le destin nous le dira. La troisième personne, quand à elle est une femme du nom de Milena. Envahit par un étrange ennui, Eishi avait quitter sa patrie discrètement pour entreprendre une erratique marche en solitaire, revisitant les paysages abîmé du monde. Il rencontra sur le chemin deux hommes qui trainait une femme par une chaîne, l’obligeant à avancer à quatre pates comme une vulgaire chienne. Les yeux rougeoyant de haine du descendant du Sage n’observèrent se spectacle morbide que quelques secondes avant qu’instinctivement ses mains vinrent rompre la nuque du premier esclavagiste pour ensuite saisir le second à la gorge pour violemment l’encastrer dans le sol. Croiser son regard inondé par la peur et l’incompréhension soutira à Eishi un rictus de mépris et lui permit d’apprendre qu’un trafique d’esclave massif avait lieu non loin de là. Honnissant au plus haut point la pratique de l’esclavage, en particulier lorsqu’il s’agissait d’utiliser des hommes et des femmes innocents pour assouvir les plaisirs malsains d’un groupe de déchets immondes, l’héritier du Sage libéra la jeune femme et lui fit perdre tout souvenir de cette horrible mascarade pour ensuite partir en quête de ces débris, pour faire couler leur sang et leur ôter les trippes. Mais lorsqu’il arriva non loin du lieu ciblé, il vit une femme, d’une beauté rare, qui déchainait une rage inhumaine sur les esclavagistes, qui semblait éveiller en elle une révulsion sans bornes. Une haine à la fois si féroce, si violente et pourtant dégageant une tristesse incroyable. Malgré l’immense virulence de la scène, le centenaire aux cheveux d’ébène ne put en détourner ses yeux, il se dégageait une aura d’une intensité singulière. Une fois les déchets réduis à l’état de carcasses démembrées, la femme aux cheveux d’or se tourna vers Eishi dont elle venait certainement de sentir la présence. Dans ses yeux émeraudes dansait une folie meurtrière intarissable. Elle se rua sur lui, pensant qu’il était l’un d’eux, son esprit étant flou, sa perception altéré par la répulsion. L’héritier la maîtrisa sans mal, elle manquait d’expérience, était jeune, aveuglée par la colère et face à un adversaire bien trop puissant. Il entreprit d’abord de la calmer grâce au pouvoir de ses pupilles puis, une fois sa rage apaisée, il sonda son âme à la recherche de la source de toute cette haine. Une fois qu’il eut vu tous ce qu’elle avait subit, il senti son cœur se serrer avec force et sa haine atteindre des niveaux insoupçonnés. Mais alors qu’il était près à accomplir un massacre, deux bras le retinrent. La jeune femme le serra contre elle, sans doute inconsciemment, cherchant du réconfort après un moment rappelant des évènements aussi traumatisants. Eishi fut plus présent pour elle que pour n’importe qui d’autre dans sa longue vie. Il eut avec elle une relation plus profonde et charnelle qu’avec aucune autre femme. Il dut cependant l’abandonner sans lui révéler qui il était réellement, gardant tout de même l’espoir qu’elle le retrouve un jour. Ces trois personnes sont les seules pouvant soutirer d’Eishi des sentiments réellement intime.

Eishi se trouve être un personnage légèrement paranoïaque. Chose qui n’est pas mal dans le sens ou plus d’une fois cela lui a sauvé la vie. Cependant, pour faire confiance, cela pose un net problème. Il n’existe que peu de personne à qui le Sojobo accorde sa confiance, hormis les trois uniques réels liens dont il dispose. Les seuls êtres en bénéficiant sont les Seifukusha et son bras droit et conseiller. Tous sont des guerriers qu’il tient en estime, ayant à maintes reprises prouvées leur valeur et leur engagement, ils ont droit à autre chose que du mépris de la part de leur Kage.
Votre personnage est-il attiré par la puissance, l'argent, ou encore le pouvoir ?

Même s’il a vécu durant plus d’un siècle, observé l’homme sous toutes ses coutures, parcouru le Yuukan à la recherche de sagesse et de connaissance, Eishi n’en reste pas moins humain. Et comme chez chaque homme, l’ambition et l’appât du gain l’ont traversé et parfois dominé. Mais la lumière du Rikudô Sennin a toujours su rappeler à l’ordre son héritier. Sans celle-ci aurait pu avoir lieu l’une des plus grandes batailles qu’aurait connu le monde : un conflit opposant les trois héritiers du Sage pour la possession du rouleau renfermant un secret pouvant amener l’apocalypse. Ce fut d’ailleurs l’une des seules fois où l’ambition prit le pas sur la réflexion, aveuglé par la puissance qu’aurait pu lui procurer cette objet tant convoité, il aurait pu abattre ses frères et sœurs dans le but de l’obtenir. C’est une chose étrange que l’obsession d’atteindre des niveaux encore inégalés. Seule l’espèce humaine est capable d’être obnubilée par d’une telle lubie. Cependant, et ce pendant de longues années, le Sojobo avait réussi à s’en émanciper, à annihiler de son esprit le désir d’obtenir pouvoir et argent, se concentrant sur son entrainement, sans pour autant avoir pour but l’obtention d’une puissance divine. Vint ensuite un important facteur qui ramena à l’esprit du possesseur du Sharingan que l’obtention de pouvoir, d’argent et de puissance était d’une importance certaine : DokusaiGakure no Sato. Pour pouvoir faire perdurer son village, Eishi dut tomber dans le vicieux cercle dans lequel l’argent et la puissance amène au pouvoir, qui lui amène à la domination et au respect. Même s’il n’en est pas particulièrement fier, il se sert de ces trois choses capitales pour diriger au mieux son village. Dernièrement, l’envie d’élever ce dernier au rang de village le plus puissant se fait plus présente dans son esprit… Peut être est-ce là un pressentiment sur un sombre futur à venir… Qui sait ?
Quelles sont les croyances de votre personnage ?

Les croyances humaines sont très subjectives et soumis à une forte vulgarisation. Basées sur des faits réels, des anecdotes hors du commun ou encore sur des mythes inventés par des illuminés possédant un esprit très ouvert, une imagination débordante et, souvent, une tendance à la mythomanie, elles bercent les enfants ou inspire la peur et le respect chez les adultes. Le mythe le plus célèbre du monde Shinobi est celui du Rikudô Sennin, personnage divinisé ayant sauvé et instruit le monde, l’humanité, pour ensuite la punir violement de ses actes égoïstes et égocentriques. Eishi croit en l’histoire du Sage, cela même ayant oublié son lien de parenté avec ce dernier, et estime celui-ci avec un profond respect. Pour avoir observé l’humanité sous ses diverses facettes, il comprend et approuve les actions de l’Ermite des Six Chemins même s’il pense que ce dernier fut trop bienveillant vis-à-vis de l’espèce humaine, qu’il avait un amour trop inconditionné envers ses représentants. Lié directement à l’histoire du Rikudô Sennin se démarque deux mythes auxquels adhère le Sojobo : le premier étant l’origine du monde tel qu’il est, un monde façonné par une entité réellement divine et dévastatrice, possédant le pouvoir d’engloutir les océans, diviser les terres, porter les montagnes et qui serait l’Aïeul ultime, l’ancêtre de tout être existant sur terre. Le Jûbi qu’aurait affronter le Sage et réussi à enfermer son enveloppe dans la Lune puis diviser son chakra en 9 parties pour créer les Bijû. Le second, qui lui est étrangement très familier, est le récit mettant en scène les trois héritiers Rikudô, bras armés de la Paix et instigateurs du monde Shinobi qui sont sortis vainqueurs de la grande guerre opposant l’ordre ninja à l’ordre féodal. Se rappelant d’y avoir participer de manière active, voire primordiale, il n’a cependant aucun souvenirs concernant les descendants du Sage. Il est aussi fortement intrigué par son immortalité, ne sachant pas à quoi elle est due et pourquoi il en a bénéficié.
Quels sont les points forts et les points faibles de votre personnage, aussi bien au niveau de sa psychologie que de son physique ?

Aussi bien qu’est voulut faire son créateur, l’être humain est une grande imperfection. Si son intelligence est ce qui le place au-dessus des autres espèces du règne animal, il n’en demeure pas moins que c’est cette même intelligence qui le rend plus loin de la perfection que toutes les autres animaux. Nous pourrions dire, qu’en tant que descendant direct et héritier du Rikudô Sennin, Eishi se rapproche bien plus de la perfection que ses congénères, mais ce serait un mensonge. Cependant, nous pouvons classer Eishi un rang au-dessus de ses homologues à cause de sa longévité, une vie longue d’expériences qui n’ont cependant pas dégradées son corps, bien au contraire, et qui ont endurcies son esprit. Somatiquement, il est possesseur d’atouts certains et nombreux. Forgé sur plus d’un siècle, son corps est une véritable machine à tuer, jouissant d’une puissance physique colossale, d’une vélocité véritablement hors du commun, d’une souplesse incroyable, d’une résistance à l’épreuve des chocs les plus violents, ainsi que d’une vivacité et d’une sève effarantes. Ses 5 sens sont d’une acuité peu commune, en particulier sa vue, renforcée par son puissant Dôjutsu, et son ouïe. Mais ce corps, aussi meurtrier soit-il, n’aurait eut telle réputation sans l’esprit qui le guide. Fort d’une expérience combattante d’un siècle, d’une grande sagacité, d’une capacité d’analyse stupéfiante, d’une absence de pitié et d’une grande habileté à manipuler, aux manettes d’une physionomie destructrice, ce cerveau fait d’Eishi un être funeste pour ceux qui ont le malheur de l’affronter. Les capacités martiales mis à part, le Sojobo est un homme perspicace, possédant une personnalité et une aura assujettissante, couplée à une verve incroyable et à une prestance digne d’un monarque. Ajouté à son charme corporel et sa beauté faciale, cela fait de lui un personnage envoutant, fascinant, intimidant et inquiétant. Mais malgré toutes ses qualités, il n’en demeure pas moins un homme. Un homme qui ressent la souffrance, capable de l’ignorer ou de la minimiser, mais pas de s’en affranchir. Un homme que l’on peut blesser, preuve en est sa blessure au dos, et tuer, même si cela reste encore à prouver. Mais les lacunes de l’héritier du Sage sont plus présentes au niveau psychologique. C’est un personnage atteint d’une légère paranoïa, n’accordant que très peu sa confiance et même lorsque celle-ci est placée, l’idée que l’on puisse le trahir ne quitte jamais son esprit. Ce qui en fait quelqu’un de très difficilement liable sentimentalement, d’autant plus qu’il éprouve un mépris incroyable envers l’espèce humaine et qu’il fait preuve d’une froideur, d’un désintérêt et d’une lassitude prononcés envers ses représentants. Ses mots sont souvent tranchants, ses paroles acerbes, destinées à faire mal. Il possède un cruel manque d’empathie et de gentillesse. Et il se trouve même qu’il est victime d’un vice assez sombre : le sadisme. C’est à l’égard de la plupart de ses ennemis qu’il prend du plaisir à les voir souffrir, à les faire souffrir, et ce durant le plus de temps possible, jusqu’à ce que sa lassitude et son ennui l’emporte.
Quels sont les goûts, les habitudes, les manies, les toc de votre personnage ?

Le goût est une notion vaste et très subjective, atteignant toutes les capacités sensorielles. Visuellement, Eishi aime les choses belles et harmonieuses, sachant capter la beauté dégagée par Mère Nature et par ses créations. Profondément amoureux de la gente féminine, il reste cependant quelqu’un de très détaché et froid vis-à-vis de celle-ci, même s’il a tendance à se montrer légèrement plus sentimental. Gustativement, il est très ouvert et peu critique, estimant que manger à sa faim est suffisant et que toujours partir à la recherche de saveurs plus compliquées les unes que les autres est dénuée de sens. Il apprécie particulièrement tous ce qui est à base de viande, de poisson ou de ramen. Olfactivement, le successeur du Sage aime l’odeur de la nourriture, de la végétation et d’autres créations de la nature, mais pour avoir traversé l’enfer de sang et de putréfaction, il se retrouve immunisé contre ce qui est nauséabond. Auditivement, malgré le fait que l’héritier au Sharingan possède une ouïe particulièrement fine, il est un inconditionnel adorateur du silence, le calme et la sérénité étant les éléments les plus propices à la réflexion. Viennent en seconde position les hurlements stridents d’un adversaire souffrant le martyre. Et enfin, tactilement parlant, on peut dire que le Sojobo n’est pas fan des contacts physiques, exception faite pour ceux à caractère sexuel et ceux qui consistent à réduire son adversaire en charpie. Il affectionne cependant grandement le contact invisible qu’il établit avec le vent lorsque celui-ci souffle. En dépit de sa longue vie, Eishi n’a jamais développé d’habitudes, vivant chaque jour comme unique, éphémère et étant soumis aux aléas de la vie, car pour lui, construire une routine qui peut être bouleversée violemment est dépourvu d’intérêt. Il a cependant développé certaines manies, dont la plupart sont liés à son sadisme ou son excentrisme martiale, comme toujours décapiter un ennemi lorsqu’il se trouve face à un groupe de plus de quatre opposants ou toujours, face à un duo, tuer le premier rapidement et faire souffrir le second, si possible en utilisant le corps de son compagnon. Une cependant est due à un attachement non commun qu’il éprouve vis-à-vis d’une jeune femme : regarder l’étoile la plus brillante du ciel nocturne en s’imaginant que c’est Milena qui l’observe depuis les cieux. Il n’a quasiment aucun toc, étant fervent partisan de la froideur et du mépris facial. Le seul qu’il est se trouve être un rictus mauvais qui se dessine sur ses lèvres à chaque fois que la mort rôde à proximité de lui et de ses opposants direct.
Votre personnage a-t-il des préjugés ? Que déteste-t-il ?

Les préjugés ont pour fondement l’ethnocentrisme, la certitude profonde d’appartenir au groupe socio-culturel le plus haut placé et que tous les autres groupes qui ne suivent pas l’exemple ont tord, le premier regard, qui jauge du mieux possible l’individu, les ouïes dires, qui influence notre façon de voir quelqu’un par rapport à des rumeurs ou une réputation. En ce qui concerne Eishi, il faut savoir qu’il est l’un des précurseurs de l’ordre ninja et qu’en tant que tel, il est convaincu que le ninja est le stade de l’humain le plus évolué, que ce soit physiquement ou philosophiquement. Selon lui, le Shinobi est l’évolution de l’homme standard qui est devenu futile, surfait et insalubre. C’est pour cette raison que l’héritier du Rikudo Sennin fait preuve d’un mépris incroyable envers les non-shinobi qui, de son avis, ne sont d’aucune réelle utilité. Sachant que les ninjas sont capables de faire mieux et plus rapidement que les hommes standard. En ce qui concerne le premier contact visuel et critique que le successeur du Sage entretient avec ses vis-à-vis, il est toujours froid et tranchant, inquisiteur et jaugeur. Ayant une certaine capacité à analyser les gens en plus de posséder des prunelles permettant d’évaluer avec précision le potentiel de quiconque se trouve en face de soi, Eishi se fait avec vélocité un jugement sur son adversaire, par rapport à sa force, à son allure et à ses mimiques.

Le Sojobo possède deux profondes aversions, il n’est que deux choses qu’il hait réellement. La première est la faiblesse. C’est un défaut qu’il ne tolère pas et qu’il exècre, surtout s’il s’agit de personnes désireuses de combats et de conflits. Les faibles meurt toujours en premiers et ne sont que des boulets freinant leurs compagnons d’arme sur un champ de bataille. La faiblesse ne mérite pas d’exister dans le milieu martial du monde shinobi. C’est en appliquant telle politique qu’il a fait de son corps armé le plus redouté de l’actuel ordre ninja. La seconde est la trahison. Légèrement paranoïaque sur les bornes, Eishi croit en la théorie du complot qui veut que chacun des choix mis sur sa route l’a été par un tiers désireux de lui nuire. Dans cet esprit, il pense que tous autour de lui peuvent le trahir, et c’est une chose qu’il ne tolère pas. Le dernier shinobi à avoir trahit DokusaiGakure no Sato en désertant a été retrouvé pendu à un arbre incendié par ses propres trippes. Sur son front était gravé “Inhumain est la Trahison, inhumain est le Jugement.”

Comment votre personnage définirait-il son devoir sur Terre ?

La définition qu’a Eishi de sa présence sur la tortueuse terre du Yuukan est assez simple en réalité. Il se voit comme à la fois comme un Pilier de l’ordre Shinobi, étant l’un des premiers représentant, l’un des plus puissant, l’un des dirigeants des capitales ninjas, mais aussi comme un guerrier Pacificateur, encore et toujours en croisade pour la Paix, préparant dans l’ombre de son village, de son armée, de son pays, une guerre future qui poussera l’humanité au bord du gouffre pour l’obliger à évoluer en une espèce capable de s’entendre dans le but de créer une Paix durable et réelle. Même s’il lui arrive d’être véritablement extrémiste, pensant à faire s’engouffrer le monde dans un Genjutsu ultime et éternel pour créer une Paix durable, bien que fictive, il est ramener à l’ordre par la philanthropie profonde que lui a transmis son paternel protecteur et aimant. L’héritier du Sage considère que sans lui, le monde subirait une importante perte et un déséquilibre qui le ferait sombrer dans des méandres obscurs. Cela peut paraître légèrement mégalomane et égocentrique, mais il n’en demeure pas moins que sa mort créerait une véritable instabilité dans le monde ninja, qui pourrait se solder par son effondrement. Ayant vécu plus d’un siècle, ayant traversé l’enfer des guerres les plus épouvantable et sanglante qui ont bouleversées le monde, il pense aussi être un exemple, voir même un idéal que les ninjas de cette ère doivent suivre. Il espère notamment et ce profondément léguer son nindô à un élève qu’il entrainerait pour devenir son successeur dans l’éventualité qu’il se fasse tuer. Car se savant humain, il n’a pas l’immense prétention de se penser intuable. Car si même le “Dieu” des Shinobi a péri, lui aussi, tôt ou tard, rejoindra son père de l’autre côté du rideau.
Et Vous ?

Certains me connaissent, d'autres ont la chance d'ignorer qui je suis. Kehehehe... Je parcours les forums RP Naruto depuis maintenant 6 ans et je suis Yujoba/L. Sasurai dans ses délires depuis deux/trois ans, depuis Kigen no Hakai où j'ai joué Yohko Seika et Uchiha Madara. Pour ceux qui ont été sur Kigen no Setsuwa, j'étais Kurayami Eishi et pour ceux de Tsugi no Sakkaku, je suis Uchiha Izaya. Mais ici vous n'avez qu'à m'appeler Galactic President Superstar McAwesomeville. Ou Eishi. À vous de voir. Je suis un Administrateur assez space, donc ne faites pas trop attention si je suis méchant, c'est normal et absolument pas personnel.
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L. Sasurai
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MessageSujet: Re: Sōjōbō Eishi ➝ ❝L'Œil qui régit le pays de l'Encre❞   Sōjōbō Eishi ➝ ❝L'Œil qui régit le pays de l'Encre❞ EmptyMer 1 Aoû - 9:11
Haha, j'adore ce personnage ! Présentation vraiment parfaite pour le rôle que tu joueras dans l'intrigue, le test rp sera tout sauf nécessaire pour toi étant donné que tu as joué un rôle bien aussi important sur TnS et que tu l'as géré.

Cependant, j'ai eu l'impression que ton personnage pouvait semblait un peu réticent à l'idée de tenir une discussion, de par sa fierté et se froideur, mais faut pas oublier qu'il fut un grand Sage, et que peut-être il devra le devenir à nouveau^^ Tu as mis en avant sa part de "sagesse" si l'on peut appeler ça comme ça mais pas assez à mon goût, connard de corse !

Dans ta présentation, on voit souvent des allusion au Rikudou. Ok, mais ce genre de chose (mais la lumière du Rikudou l'a souvent ramené à la raison" ça ne le fait pas, étant donné que ton personnage ne doit avoir aucun souvenir de ses origines et de sa formation avec le Rikudou. (il sera bientôt mis au courant, promis)

Bon, tu es validé !
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